Beauté, santé, bien-être, forme des quinquagénaires et plus... Trop sérieuses s'abstenir !

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Pourquoi un beauty-blog ?

Elles exercent le métier de professeur, psychologue, responsable de projets, elles ont toutes plus de 50 ans, elles s’appellent Danie, Maryse, Anne-Marie et ce sont mes amies de longue date…
Lorsque nous nous rencontrons, survient toujours un moment où nous parlons toilettes, produits de beauté, chaussures, etc., et où nous échangeons nos découvertes les plus récentes en la matière..
Pour elles, et pour toutes celles qui, comme moi, comme nous, s’accordent de temps en temps une parenthèse de futilité dans une vie par ailleurs souvent difficile, j’ai ouvert ce blog-forum, "Entre-filles, le beauty-blog de Norma", un hommage à une certaine légèreté de l'être...

Je serai ravie de vous y retrouver tous les quinze jours…

lundi 1 septembre 2014

La féminité



"On ne naît pas femme, on le devient"

Simone de Beauvoir





La féminité est un sujet qui pourrait faire l'objet de bien des développements mais dont je ne présenterai ici que quelques aspects, liés au thème de ce blog, laissant ainsi de "l'espace" à celles (et ceux !) qui souhaiteraient donner leur point de vue sur cette question fort sujette à débats, voire à controverses.

Si la féminité comporte indéniablement une composante biologique liée à la nature-même de la femme, elle se définit également au travers de la culture : "un construit culturel", dit Jean de Totirakapon (clic).

A l'heure où la théorie des genres fait débat, la féminité est une notion presque d'un autre temps, celui où le sexe biologique des individus les condamnait à remplir un certain nombre de fonctions et de rôles sociaux. Elle était alors ce doux mélange de dévouement maternel, de dépendance matérielle et juridique, d'emblèmes vestimentaires, de comportements pré-établis et de disponibilité sexuelle.
Des aspects de la féminité qui ne rendent compte que très partiellement de ce qu'est la femme aujourd'hui.



Chacune d’entre nous se situe quelque part entre la neutralité frôlant la masculinisation et la caricature culturelle de la femme.



Au niveau inconscient, la féminité est certainement liée à la capacité d’attirer le regard de l’homme : être désirable, en fait.
C'est besoin de se sentir "féminine" en attirant le regard de l’homme qui pousse fréquemment la femme à se comparer aux modèles de beauté et soi-disant, de féminité, érigés en canons dans la société à laquelle elle appartient.
Même si ces canons vont à l'encontre de ce qu'est plus "naturellement" le corps d’une femme...
Il reste en effet un domaine où la féminité continue d’être mobilisée sans complexes, c’est le celui de la mode et de la beauté.

Pour certaines femmes, se mettre en valeur peut signifier d'arborer les emblèmes traditionnels de la féminité : porter presque exclusivement des robes et se maquiller régulièrement.




Toutefois, il existe différentes façons de se mettre en valeur : c’est d’abord ce que l’on dégage de confiance en soi et de plaisir de vivre qui nous rend attirantes, il n’est pas nécessaire de s’habiller en robe et de se maquiller si cela ne fait pas partie de nous. Certaines femmes paraissent effectivement très féminines en pantalons et sans maquillage puisqu’elles se sentent bien dans leur corps, dans leur sexualité et dans leur vie en général et... que cela se sent.


Nathanaëlle (clic-clic) écrit :
"Pour la féminité, je pense qu'elle se situe surtout dans l'attitude, la parole, le mental, c'est un tout, elle n'est pas seulement physique. Yves Saint-Laurent l'avait fort bien compris, lui qui a institué le smoking pour femme (c'est un peu grâce à lui que nous pouvons porter des tailleurs pantalons au quotidien), en bref, on est féminine en pantalon, de toute façon, il n'est pas question de porter un chiffon de robe sur moi (Brrrr quelle horreur ce truc) !"
Je pense que les photos qui encadrent ses propos illustrent bien sa conception vestimentaire de la féminité.



En ce qui me concerne, si je devais définir mes représentations de cette notion, je le ferais d'abord "en creux", en énumérant ce que la féminité n'est pas pour moi :
- être systématiquement en robe ;
- porter ce maquillage de bon ton qui surtout, ne fait pas vulgaire...
- être un arbre à bijoux ;
- mais aussi, être négligée et...
- être toujours un peu en retrait par rapport à son homme, en une posture d'abnégation de soi et de mise en valeur de l'autre séculairement valorisée ;
- s'accomplir uniquement dans la maternité ou le rôle d'épouse.
En revanche, en préparant cet article, me sont revenues en mémoire quelques-unes des paroles d'une chanson de Renaud, "Miss Maggie", qui décrivent assez bien pour moi ce que serait une posture féminine, ou ce qui était une posture féminine car il me semble que bien des choses ont changé depuis cette époque (1985)...

"Femmes du monde ou bien putains
Qui, bien souvent, êtes les mêmes 
Femmes normales, stars ou boudins
Femelles en tout genre, je vous aime
Même la dernière des connes
Je veux dédier ces quelques vers
Issus de mon dégoût des hommes
Et de leur morale guerrière
Car aucune femme sur la planète
N’s’ra jamais plus con que son frère
Ni plus fière ni plus malhonnête

Femme je t’aime parce que
Lorsque le sport devient la guerre
Y’a pas de gonzesses, ou si peu
Dans les hordes des supporters
Ces fanatiques fous furieux
Abreuvés de haine et de bière
Défiant les crétins en bleu
Insultant les salauds en vert
Y’a pas de gonzesse hooligan
Imbéciles et meurtrière
Y’en a pas, même en Grande-Bretagne

Femme je t’aime parce que
Une bagnole entre les pognes
Tu n’deviens pas aussi con qu’eux
Ces pauvres tarés qui se cognent
Pour un phare un peu amoché
Ou pour un doigt tendu bien haut
Y’en a qui vont jusqu’à flinguer
Pour sauver leur auto-radio
Le bras d’honneur de ces cons-là
Aucune femme n’est assez vulgaire
Pour l’employer à tour de bras

Femme je t’aime parce que 
Tu vas pas mourir à la guerre
Parce’ que la vue d’une arme à feu
Fait pas frissonner tes ovaires
Parc’que dans les ranges des chasseurs
Qui dégomment la tourterelle
Et occasionnellement les beurs
J’ai jamais vu une femelle
Pas une femme n’est assez minable
Pour astiquer un revolver
Et se sentir invulnérable

C’est pas un cerveau féminin
Qu’est sortie la bombe atomique
Et pas une femme n’a sur les mains
Le sang des Indiens d’Amérique
Palestiniens et Arméniens
Témoignent du fond de leurs tombeaux
Qu’un génocide c’est masculin
Comme un SS, un torero
Dans cette putain d’humanité
Les assassins sont tous des frères
Pas une femme pour rivaliser

Femme je t’aime, surtout, enfin
Pour ta faiblesse et pour tes yeux
Quand la force de l’homme ne tient
Que dans son flingue ou dans sa queue."


La féminité serait-elle ce regard un peu différent sur le monde, moins agressif, sans emblème de domination, cette tolérance à l'autre, cette non-appétence à la compétitivité ?

Si féminité il doit y avoir, c’est dans les termes de la pluralité et de la nuance qu’elle doit se comprendre... 


Qu'en pensez-vous, chères lectrices de ce blog ?




"Entre-filles" publiera désormais tous les 15 jours, le lundi matin : le rythme hebdomadaire m'est trop difficile à tenir et j'ai également remarqué que les échanges entre lectrices de ce blog dépassent fréquemment le délai d'une semaine.

Pour les sujets à venir : 
Lundi 15 septembre : "Nos bonnes résolutions de la rentrée (en matière de beauté, forme, santé, etc.)"
Lundi 29 septembre : "Le soin de nos mains"

Celles qui le souhaitent peuvent bien sûr contribuer à ces billets !


Très bonne semaine à toutes !



168 commentaires:

  1. un commentaire court...wifi mauvais...
    une femme peut faire plusieurs choses à la fois! l'homme... pas!
    bises

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    1. Plusieurs "choses" ? On peut être épouse et mère, avoir un métier et s'y consacrer, un homme peut être époux et père, mais de là à jouer des rôles, je ne saisis pas très bien ce que tu veux dire Elfi.
      Bisous et belles continuation de ouacances lol

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    2. Je ne voudrais pas me substituer à Elfi mais peut-être se réfère t-elle à ces études qui disent que la femme peut faire plusieurs choses à la fois comme bavarder avec une copine tout en écoutant ce qui se dit à la table d'à côté alors qu'un hommene ne peut pas planter un clou tout en regardant un match de foot!!! Il ne peut exécuter qu'une action à la fois. Je fais dans la caricature bien sûr. Iil paraîtrait que c'est scientifique, que nous avons la possibilité les femmes de faire travailler plusieurs parties de notre cerveau en même temps et pas les hommes. De même qu'il paraîtrait que les femmes prononcent en moyenne beaucoup plus de mots que les hommes dans une journée. Mais ces études sont-elles réelles et sérieuses? Je n'en sais rien Je crois juste qu'Elfi y fait allusion.

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    3. Suis nunuche lol j'ai cru lire "être plusieurs choses."..il était minuit... pardon, je ne devais plus avoir les idées très claires lol
      Oui, effectivement, on dit cela, mais... Napoléon dictait 4 lettres en même temps... lol
      En effet les 2 hémisphères du cerveau de la femme travaillent en même temps, alors que celui de l'homme ne fonctionne que d'un coté à la fois. Je ne suis pas assez férue en la matière pour répondre plus sur le sujet, Norma surement.
      Bisous les filles !

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    4. Faire plusieurs choses à la fois , oh, oui.. une image me vient à l'esprit.
      En Afrique, où j'ai vécu : une femme noire, droite comme un" i", un bambin sur le dos, enroulé dans son page, un autre accroché à ses basques, parfois un à gauche un autre à droite.une petite chose ventousée à un sein...et sur la tête un énorme bassin plein de fruits et légumes, des kilos...parfois il arrive qu'elle tricote en allant de maison en maison proposer sa production .La petite chose qui accapare le mamelon témoigne d'un accouchement récent.... mon époux très dévoué gardait nos enfants, mais un à la fois, si j'avais mis au monde des jumeaux, jamais il n'aurait tenu le coup...bon tout ceci c'est pour nous faire sourire tout en admirant le courage des femmes...

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    5. nathanaëlle, mon homme n'est pas napoléon :))))) bises à tous!!!!

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    6. Je réponds globalement à vous les quatre, Elfi, Danielle, Marie-Paule et Nathanaëlle : les études auxquelles vous faites référence - Marie-Paule et Nathanaëlle - ne sont pas des études très scientifiques ; très controversées, elles ne sont pas validées par la psychologie expérimentale.
      Il est sûr qu’il existe des différences entre hommes et femmes dans le domaine du fonctionnement cérébral, mais sont-elles innées ou seulement issues de contraintes éducatives ou sociales ? Les hommes et les femmes ne sont pas identiques, ni physiquement ni mentalement, et surtout ils n’ont pas été élevés identiquement, enfin leur place dans la société n’est pas identique depuis leur origine…
      Et pourtant, l’un n’est pas supérieur à l’autre, je préfère dire qu’ils sont complémentaires…
      Grosses bises à toutes les trois, et bonnes vacances à Elfi, la veinarde !

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    7. Tu as raison Marie-Paule : les femmes prononcent beaucoup plus de mots que les hommes. Pour preuve, cette petite blague ci-dessous :
      " Un homme lit le journal et dit à son épouse :
      - Savais-tu que les femmes utilisent 30.000 mots par jour et les hommes 15.000 ?
      La femme lui répond :
      C'est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes..
      L'homme se retourne vers elle et dit :
      - Quoi? "
      ;-)))

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    8. Merci pour ce clin d’œil, Oxy, voilà qui fait terminer la journée avec le sourire !
      je t'embrasse bien fort.

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    9. merci oxygene... comme il est vrai celà :moi,en meme temps, je suis ici sur le blog (ou sur le mien ou sur fb) je travaille, je controle les mails , je cajole un chat (mireille, miciupiciu etc) et je repond à giovanni qui fait les mots croisés ... giovanni fait les mots croisés :D

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    10. Paola tu as TOUT compris mais je n'en attendais pas moins de toi.Nous les femmes, nous sommes des êtres particulièrement organisés, ainsi moi pour le moment, je suis sur le blog de Norma, je me fends d'un commentaire, je sirote mon kawa, j'admire le dos de mes mains sur lequel j'ai étalé de la crème anti âge (LOL) , le lave vaisselle tourne, le séchoir aussi et la machine à soupe prépare un velouté de tomates pour la soirée ( il fait frais) devant la télé( The mentalist is back) et au fait...je surveille l'horloge car le chéri qui fait ses sudokus laisse souvent passer l'heure du journal et je ne suis même pas épuisée...suis une femme quoi!
      LOL très majuscule!

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    11. Danielle je suis preneuse pour ta crème anti âge pour les mains. Car si mes petites mimines (6 ou 6,5 en gants) sont aussi adorables que mes petits petons (LOL très majuscule auss), elles me jouent le mauvais tour de se couvrir de "fleurs" de cimetière. C'est génétique et cela me vient de mon papa. Alors si ta crème prévient ces "fleurs" et mieux les atténue, donne moi le nom avant que mes mains ressemblent à un jardin!

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    12. Et moi aussi car, avec la peinture, le vernis et les solvants, j'ai les mains de plus en plus abîmées (et peut-être l'âge, aussi...).
      Nous allons finir par établir entre nous une banque des produits de beauté les plus efficaces, testés et approuvés !

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    13. Ah, les filles ! Défense de rire !!! Ma crème anti âge pour les mains c'est juste un tube ( échantillon) de crème contour des yeux Lift + de Diadermine dont j'ai estimé que je n'avais pas l'usage.Et je fais une expérience, j'ai étalé cette crème sur le dos de ma main gauche et pas sur la droite, et je surveille..on n'est décidément plus sérieuse quand on a plus de 70 ans! sans rire, j'utilise souvent ma crème hydratante pour le visage , je termine de cette façon les pots ou les tubes qui ne me plaisent plus.Cela me permet de changer de crème sans rien perdre...je sais qu'il existe des crèmes anti taches mais...:-) les noms m'échappent.

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    14. Tant pis pour toi Danielle, je ris tout de même!! Pas de ton expérience "main droite, main gauche", plutôt astucieuse mais que tu mettes une crème contour des yeux sur... les mains. Je ris mais, pour être sincère, il m'arrive aussi, quand j'ai pris une noisette de crème trop grosse pour son usage, de finir par l'étaler sur mes mains!!!
      Pour la crème anti taches, je vais attendre le billet consacré aux mains!! Je connais des noms mais je ne connais personne qui puisse me dire lesquelles ont un réel effet. Surtout que je cherche du "curatif" plutôt que du préventif. En même temps la situation n'est pas si grave pour aller déjà chez le dermato.
      Bises Danielle et Norma.

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    15. J'utilise depuis des années les produits du Dr Ricaud.Je commande par Internet .Il y a dans le catalogue, je viens d'y jeter un coup d'oeil, un soin anti-âge et anti-taches pour les mains. Et ce n'est pas coûteux.Tu sais que le dos de ma main gauche est plus lisse que celui de la main droite! LOLLLL

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    16. J'ai vu que ce soin du Dr Ricaud a été classé comme l'une des meilleures crèmes pour les mains, mais je ne sais plus dans quel magazine...

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    17. Je ne l'utilise pas personnellement car , bien sûr,j'ai des mains de princesse ( ben quoi, pourquoi pas???) mais par contre j'en offre à la gentille Anne qui vient m'aider pour le ménage et qui a, elle, des mains de fée du logis LOL...je connaissais le soin nourrissant mais je n'avais pas tilté sur le volet anti taches. je ferai attention lors de ma prochaine commande.ceci dit, je trouve tous les produits excellents.Beau dimanche à toi, Bises, Norma.

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    18. J'utilise la crème pour les mains à l'amande de l'Occitane, et la crème gourmande pour mains et ongles de Caudalie, j'ai des mains de bébé mesdames ! lol Et le petit truc : les soins anti-age pour le visage marchent aussi pour les mains...
      Bisous à toutes et belle semaine !

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    19. J'ai vu aussi, toujours sur cette même revue non-identifiée, que c'était une excellente crème, tu nous en parleras plus en détails sur le billet sur les mains et leurs soins, si tu le souhaites bien sûr.
      En ce qui me concerne, j'utilise très fréquemment les restes de ma crème visage...
      Re-bises, Nath.

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  2. Bonjour mon amie Norma,
    tu attaques la rentrée avec LE sujet qui résume à lui seul ce blog que tu as créé. Vaste sujet en effet. Je vais épargner à toutes les copinautes les idées générales que je peux avoir sur la question et parler de mon expérience. Comme tu le sais j'ai subi un regard extrêmement dur sur mon apparence physique de la part de mes parents et cela allait évidemment aussi du côté du caractère, on me disait "trouillarde", "chochotte"... Par exemple un soir que nous regardions un documentaire sur les animaux en présence de mon père, je m'exclame devant un chaton "Oh ! Mais comme il est mignon !" La réaction violente ne se fit pas attendre "Qu'est-ce que c'est con ce mot ma pauvre fille"... Ceci explique que très très longtemps je crois jusqu'à mon mariage, j'ai tout voulu cacher qui soit un peu féminin. Pantalon large, veste militaire, grand pull... pourtant je me maquillais et les garçons étaient attirés par moi, finalement j'ai eu pas mal de flirts...
    Mais je reste encore aujourd'hui le type de femme qui porte volontiers un costume d'homme féminisé plutôt qu'une robe. Et au fond de moi il y a toujours une vigilance à ne jamais paraître trop féminine mais plus par rapport au ton de la voix, aux manières, aux gestes, aux expressions employées. Et au fond les femmes qui font trop de manières m'exaspèrent : merci papa ! J'aime Audrey Hepburn qui est pour moi l'archétype féminin et j'aurais adoré lui ressembler (On est loin, très loin du compte !) Je n'ai pas de manières de garçon, ni de langage brutal mais je ne fais pas partie de ces femmes qui marchent en écartant les bras, portant un sac à main sur l'avant-bras en se balançant doucement. Tu vois ce que je veux dire? Je ne mets jamais de vernis à ongles par exemple. Ma féminité tient finalement dans ma sensibilité, mes émotions, mes sentiments et ma façon de réagir aux événements. Elle tient aussi dans la façon dont j'ai été mère et l'immense amour que je porte à mes trois enfants.Je m'arrête là pour aujourd'hui et j'ai hâte de lire les histoires de toutes celles qui viendront écrire un peu de leur histoire ici. Je t'embrasse très affectueusement ma Jolie Norma.

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    1. Je trouve tout à fait féminine, la Fée, on se ressemble. Mais chez moi, on aimait les animaux, et on s'exprimait avec bienveillance, je n'ai pas eu de souci avec le modèle parental. Cela a du être dur pour toi, d'être rabaissée dans ta sensibilité. J'ai toujours détesté jupes et robes, même à l'âge de 3 ans. La féminité est en soi, pas sur soi, ainsi que tu le dis, et puis, un tailleur pantalon c'est féminin, je ne porte rien d'autre. Pas de vernis non plus, mais j'aime les vernis gris clair, j'y viens tout doucement, épisodiquement, mais rarement. Rassures toi, tu es une femme, une vraie, pas besoin de minauder avec un sac sur l'avant-bras, restons naturelles lol
      Gros bisous jolie Fée !

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    2. Oui ma Nathanaëlle tu as raison dans tout ce que tu dis, je sais bien que je suis une femme. Comme tu le dis la féminité est en soi. Mais tu vois je te trouve mille fois plus femme que moi !!! (C'est mon imaginaire qui fonctionne à plein tube en voyant ta vignette sans doute!) Bisous bisous

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    3. C'est la "tignasse" lol qui te fait penser que je suis hyper-féminine, lol en réalité je suis très "t-shirt ou pull, pantalon et veste, baskets ou bottes" maquillée mais naturelle, sans chichis lol Mais comme toi, je n'ai rien d'un garçon, (et je ne voudrais surtout pas ! lol) nous sommes des femmes qui s'assument, pas des ados attardées, ni des mémères sans féminité. Il y a un juste milieu, celui d'une femme qui prend soin d'elle et de ce que la nature lui a donné. Nous sommes pareilles, c'est bien ton imaginaire lol :-D
      Gros bisous la Fée, garde confiance en toi, tu es magnifique, à l'intérieur comme à l'extérieur, j'en suis sure,

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    4. Nathanaelle moi lorsque j'étais une fillette je jouais aux cow-boy avec les fils du paysan et avec la mula Nina et je construisais mon traineau et j'ai été heureuse avec mes animaux, mais je n'ai j'aimais aimé les poupées

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    5. Nous sommes pareilles Paola, je ne jouais pas avec une poupée mais avec un jeu de construction style Lego, je faisais des châteaux pour jouer avec des figurines de chevaliers, de princesses (beaucoup plus jolies que les Playmobil) un garage, des voitures... J'étais fille unique et ces jouets étaient bien les miens lol pas ceux de grands frères. Et je faisais de la danse classique lol
      Les seules poupées que j'ai aimé sont les poupées mannequins, Barbie et ses copines lol

      La théorie des genres qui fait débat dans les écoles ici en France, me fait rugir ! lol On peut jouer avec les jeux que l'on veut dans l'enfance, ce ne fera pas de nous des hommes et les garçons ne deviendront pas des femmes s'ils jouent à la poupée, (j'en connais, devenus des hommes tout à fait équilibrés aujourd'hui) laissons à chacun le plaisir de l'enfance qu'il aime.

      Bisous Paola, passe une belle journée

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    6. le lego, moi aussi (je l'ai encore et mon fils il a joué avec MON lego) et moi aussi je suis fille unique!

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    7. Encore une fois, le rôle de notre éducation dans notre ressenti (et nos comportements) de femme est encore mis en évidence dans tes propos, chère Pétales.
      Il faut aller chercher dans cette éducation une explication au pourquoi nous nous "interdisons" certaines manières de femmes et pourquoi nous nous en "autorisons" d’autres.
      Moi non plus, je ne mets pas de vernis sur mes mains alors que je me maquille…
      Pourquoi ?
      Pourquoi certaines attitudes dites féminines nous semblent-elle vulgaires, tout au moins caricaturales, alors que nous acceptons d’en adopter d’autres ?
      Pourquoi évitons-nous certains emblèmes féminins, pourquoi adoptons-nous certains emblèmes masculins ?
      Je pense que nous nous sommes construites autour de ces autorisés et de ces interdits que nous nous sommes donnés, en conformité ou en réaction à des modèles parentaux et plus largement sociaux…
      Mais comme toi, je pense qu’être femme est une posture vis-à-vis de la vie, une forme de sensibilité, d’émotions authentiques nées d’un parcours où éducation et parfois maternité ont laissé leurs traces, nées aussi d’une différence affirmée avec des comportements masculins qui ne nous plaisent pas : volonté de domination, agressivité, etc.
      Il est une forme d’indulgence que je trouve vraiment féminine et qui me plaît beaucoup, un regard plus humain sur les événements, une attitude empathique et je crois que c’est un peu à cela que tu fais référence dans tes propos.
      Je t'embrasse bien fort, ma Pétales, et courage pour les deux semaines à venir !
      Et merci aux autres participantes qui ont réagi à ton commentaire !

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    8. Par ailleurs, vous n’êtes sûrement pas « pareilles », Pétales et Nathanaëlle, mais vous avez certainement des conceptions assez voisines des emblèmes sociaux de la féminité, un « ni trop ni trop peu » que je partage avec vous.
      Mais je pense que vous vous ressemblez davantage dans votre regard sur la vie que dans ces caractéristiques féminines de l’apparence et c’est là, pour moi, que se niche la véritable féminité.
      Je ne voudrais surtout pas être un homme, je suis bien dans mon statut, mon rôle de femme et je trouve, par ailleurs, qu’être un homme est parfois bien plus compliqué.
      C’est mon expérience professionnelle qui me fait affirmer cela, il est des attendus sociaux terribles qui pèsent sur les hommes, également, surtout dans le domaine de leur virilité… et de leur sexualité.
      Re-bises.

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    9. Je ne voudrais pas être un homme non plus, déjà parce que je suis bien dans mon corps de femme, et pas seulement dans le corps, dans la tête et le coeur aussi. Et puis, parce que, un homme ne peut pas se maquiller, (mises à part les drag-queens lol), et un homme manque de fantaisie, dans tout. Ma réponse est peut-être un peu puérile, mais je ne me vois pas du tout en homme ! lol
      Quant aux attendus sociaux, je pense que l'on en attend aussi de la part d'une femme dans le domaine de sa sexualité, de la procréation, car dans l'inconscient, malgré l'avancée du statut de la femme, elle reste un ventre.
      La virilité, les hommes la placent bien bas...trop en dessous de la ceinture et uniquement là, alors qu'à l'instar de la féminité, elle se situe aussi dans le comportement, dans l'attitude, dans la sensibilité, (un homme a le droit d'être sensible, c'est même là l'un des critères sur lesquels mon intérêt se fonde...)
      A tout de suite... Bisous

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    10. D'accord avec toi, Nath, un homme a le droit d'être sensible et de le montrer, d'ailleurs sans trop m'avancer, je dis que ce sont ceux-là que nous préférons...
      Mais ils ont, eux aussi, un grand poids social à porter, concernant ce que je qualifie d'emblèmes de virilité ; tout comme nous en avons un concernant une prétendue féminité...
      Grosses bises matinales, Nath, et merci pour ta participation si appréciée de nous toutes !

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    11. Je suis contente de lire que vous avez pensé à la sensibilité masculine. Bien souvent on refuse aux hommes le droit d'être sensibles. Pourquoi ? Parce qu'ils ont depuis des millénaires le rôle de la personne forte sur laquelle on peut s'appuyer en toutes circonstances ? Moi j'aime bien un homme qui a une petite part de fragilité, et je serais presque tentée de dire une part de féminité... D'un autre côté, je me sens si faible et fragile parfois que j'ai besoin de quelqu'un de fort à mes côtés. La contradiction serait-elle un des aspects de la féminité ? ;-)))

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    12. Je crois que ce sont les hommes eux-mêmes, sous pression sociale bien sûr, qui se refusent le droit à montrer leur sensibilité, car il s'agit bien de ne pas la montrer pour incarner ce rôle de personne forte que tu évoques ici.
      La question que je pose est : les mères et les pères ne contribuent-ils pas, par cette éducation que j'ai qualifiée dans un autre commentaire de "discrètement différenciée" (entre leurs filles et leurs garçons), au fait que les hommes montrent moins leur sensibilité ?
      N’avons-nous pas véhiculé, inconsciemment bien sûr, une forme d'interdit en la matière ?
      A réfléchir en tout cas.
      Re-bises, Oxy.

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    13. Je ne sais pas Oxy si les "contradictions" sont propres à la féminité mais pour en avoir discuté avec des hommes, ils se sentent parfois désarçonnés par ces fameuses "contradictions" dont tu parles. Ils trouvent que nous sommes un peu "compliquées" à comprendre parce que selon les moments nous attendons dans leur comportement quelque chose d'autre et son contraire.
      Re-bises les filles.

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    14. Quelque chose et son contraire... Heu... Tu es sure Maire-Paule ? lol Perso, je ne pense pas, il est vrai qu'il existe des filles (et des gars) très compliquées qui ne savent pas ce qu'elles veulent. C'est difficile de vivre avec ce type de gens, on ne sait jamais si on fait plaisir ou pas, mais on choisit son compagnon, donc on prend le temps de se connaitre, si la personne est trop imprévisible, "ça le fait pas" lol

      Bisous Maire-Paule

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    15. Norma, tu as raison, la sensibilité montrée ou cachée chez les hommes vient de leur éducation. J'ai vécu avec un homme sensible, un être humain normal, qui détestait ce coté "viril" prôné par l'armée, il avait très mal vécu ce coté du service militaire obligatoire à l'époque. ses parents lui avaient inculqué de belles valeurs humaines. Et il se levait de table pour désservir ! Ce n'est pas souvent... lol L'éducation fait tout.
      Bisous Norma

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    16. Tu sais, Nath, il existe, depuis fort longtemps, un grand débat en psychologie entre les tenants de l'inné et ceux de l'acquis, et plus les recherches s’affinent, plus il est démontré que l'acquis, et en particulier les composantes éducatives (et leurs composantes psychologiques conséquentes), sont importantes...
      Et bien sûr, autant pour les filles que pou les garçons...
      Bisous, Nath !

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  3. donc si "l'eternel féminin" est etre moins aggressive, etre soumise, se tenir moins de l'homme (aussi de l'homme aimé) n'etre pas toujours certaine de sa propre valeur,etre un bibelot eh bien ...alors je suis un homme! j'aime etre chic, j'aime les bijoux ( je suis de Valenza j'ai aussi dessiné des bijoux) j'aime etre brillant, mon esprit est très fin... mais tout celà est surtout pour moi! on m'aime ou ne m'aime pas moi je suis comme ça

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    1. Il y a beaucoup trop de cliché sur la féminité, hélas lol comme toi, je suis donc un homme ! lol
      Gros bisous Paola

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    2. Oui Paola ! Tu es une femme-homme ! Moi aussi du coup je suis un homme !
      Mais évidemment il y a aussi beaucoup d'hommes qui sont aussi un peu (ou beaucoup) femme ! Bises Paola.

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    3. Bah oui, si on se réfère à ce qu'ils appellent l'éternel féminin qui réduit une femme à une potiche (un peu chipie aussi, c'est ce que dit ce ridicule éternel féminin), nous sommes toutes des hommes ! lol ah les clichés ont la vie dure lol
      Bisous les filles !

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    4. Je te réponds, Paola.
      Moi, je revendique : je ne suis pas un homme !
      Bien sûr, loin de moi de défendre une conception de la femme stéréotypée que vous décrivez si justement ci-dessus, mais je me revendique aussi en tant que femme car je déteste certaines attitudes traditionnellement « arborées » par les hommes (certes car on les leur a assignées depuis toujours) : agressivité (je ne prends comme exemple la conduite automobile de bon nombre d’hommes… il faut dire que les psychanalystes appellent la voiture le « phallus à roulettes »…), goût du pouvoir, manque d’indulgence.
      Vous me rétorquerez que bien des femmes ont adopté ces attitudes, tant mieux si c’est un signe de libération mais dommage car ce sont des attitudes exécrables…
      Je t'embrasse bien fort, Paola.

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    5. moi je ne suis ni femme ni homme , moi je suis comme je suis mais, bien sur, j'ai un caractère épineux , fort , bref le caractère des facelli est-que tu sais, Rosina du Barbiere di Siviglia? "ma... ma se mi toccano dov'è il mio debole una vipera sarò" (mais s'on tuche mon point faible mai he serais une vipère,,) et je crois que chacune d'entre nous peut dire la meme chose

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    6. Pour ma part, j'avais bien compris la signification du trait de Paola, si une femme doit être potiche, alors nous, nous sommes des hommes car la potiche ne nous ressemble pas lol
      Je revendique aussi d'être une femme, surtout pas un homme !

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    7. J'ai voulu pousser le trait et puis c'est très vrai, je n'ai aucune envie d'être un homme et j'avais très envie de le dire !
      Et pourtant, je suis sûre que ma mère rêvait d'avoir un garçon...

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    8. ooooooooh mon père voulait un gaçon et voulait m'appeler Gontrano, donc moi, qui j'ai du bon sens, je suis née femme!

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    9. Gontrano, c'est joli mais je préfère Paola.
      Ma mère n'avait pas pris de risques, elle avait choisi Claude, Dominique et Camille...
      Et plus tard, j'ai ajouté Sophie afin qu'on ne me prenne surtout pas pour un garçon !
      Bisous, Paola, et bon dimanche !

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    10. Le choix du prénom unisexe dit beaucoup en effet de l'attente d'un garçon comme premier enfant surtout. Et je trouve que ce prénom ma chère Norma ne te correspond pas du tout. Sophie est mille fois plus joli (et sage !) mais tu as aussi choisi Norma comme pseudo et souvent je me suis demandé pourquoi... référence à Norma Jean ... peut-être ? Tu nous le diras un jour si tu le souhaites.
      Par rapport à ce que tu dis des hommes, je suis assez d'accord avec toi. Il y a une pression sociale très forte pour qu'ils soient en effet virils mais plus encore capables d'assumer de nombreuses contraintes sociales et familiales :être "responsables", être forts, ne pas flancher, conduire et mener la vie... et j'imagine que petit garçon ils ressentent déjà cette pression et que ce ne doit pas être très facile pour eux de se construire. Nous, les mères, avons bien sûr notre part de responsabilité dans toute cette histoire. Comme c'est compliqué tout cela ! Bisous à toutes et merci Norma pour tes encouragements à tenir le coup... j'avoue que ce n'est pas rose tous les jours et je sais que même dans quinze jours, je ne serai pas "miraculeusement" guérie !!! Il faut que je ma fasse à cette idée !

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    11. Oh oui, je vais vous confier tout de suite pourquoi j'ai choisi Norma, et surtout Norma C comme pseudonyme.
      Rien à voir avec Norma Jeane, je n'y ai jamais pensé, ni même avec le groupe Norma Jean.
      Norma C renvoie à Norma Cenva, une anti-héroïne du cycle de Dune, le chef d'oeuvre de science fiction de Frank Herbert.
      Je lisais l'avant-Dune lorsque j'ai commencé mon blog qui allait devenir "les Peintures de Norma C".
      Norma Cenva apparaît dans l'épisode "La guerre des machines".
      Elle est la fille d'une sorcière qui la rejette à cause de son corps de naine.
      Norma possède dès sa naissance un esprit puissant lui permettant d’appréhender les concepts mathématiques les plus difficiles.
      Un grand commerçant de l’espace tombe amoureux d’elle, en dépit de sa disgrâce physique, et l’épouse.
      Norma Cenva emploie ses talents de mathématicienne à la découverte de « l’espace plissé », qui raccourcit les distances par des « sauts » dans l’espace interplanétaire.
      Cette invention, commercialisée par son mari, deviendra un avantage stratégique pour les mondes humains alors capables de frapper les mondes des robots.
      Norma est la fondatrice de la Guilde Spatiale.
      Elle utilisera son potentiel génétique pour lutter contre des robots qui la captureront et se reconstituera , à cette occasion, un corps « normal ».

      Voilà le résumé de l'histoire de celle dont j'ai pris le prénom et l'initiale du nom.
      J'avais été fascinée par ce personnage qui avait tant souffert de son physique mais avait trouvé l'amour et, après bien des efforts et des combats était parvenue à se fabriquer le physique qu'elle désirait...
      Voilà, Pétales, tu sais bien qu'il n'y a pas de hasard dans le choix d'un pseudonyme...
      Je t'embrasse bien fort, mon amie.

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    12. Une jolie histoire de pseudo... Il n'y a effectivement jamais de hasard dans le choix d'un pseudonyme, il faut forcément qu'il nous ressemble quelque part.
      Et Norma te va bien, vraiment très bien.
      Bisous et belle nuit !

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    13. C'est gentil, Nath, à vrai dire, je m'y suis bien habituée.
      Bisous du matin !

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    14. Je suis si contente de lire cette histoire ! Je sais maintenant pourquoi tu as choisi ce prénom. Dans Norma, j'entends aussi beaucoup d'autres choses, quelque chose qui toucherait à la "régulation", la tempérance... mais c'est une autre histoire ! Merci pour cet éclairage et mille bisous Norma !

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    15. Norma tu connais Dune et norma cenva! je te chéris!

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    16. Comme je le dis toujours Paola, il n'y a pas de hasard !
      Alors tu ne savais pas pourquoi j'avais pris le pseudonyme de Norma C ?

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    17. J'aime beaucoup cette idée de régulation et de tempérance, Pétales, je vais essayer de les adopter !
      Bisous.

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    18. Oui, c'est vrai, les Norma s'orientent vers la science et la raison (ton métier) elles possèdent un esprit analytique, (on y revient). Elles sont déterminées, chaleureuses, travailleuses, patientes et calmes. Je pense que ce portrait te ressemble... Et je trouve ce prénom très distingué.
      Je calcule la numérologie de Norma :

      5+6+9+4+1 = 25 Soit 2+5 = 7 le chercheur de vérité !

      La numérologie est une science assez exacte, on se reconnait bien à plus de 70%, comme un thème astral personnalisé, là, il s'agit d'un pseudo, et je trouve que tu l'as très bien choisi, de toute façon, les pseudos ressemblent forcément aux personnes qui les choisissent, le hasard n'existe pas.
      Kissous

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    19. Je n'avais jamais pensé à te demander pourquoi tu avais choisi ce pseudo et j'avais tout faux dans ce que j'imaginais. Pour moi Norma c'était l'héroïne de Bellini, la prêtresse druidique mais au nom italien. Tu étais Maria Callas, l'artiste, mais dans un autre domaine. Le "C" était un rappel de Claude! Je suis allée voir ce que l'on dit des Norma et j'ai trouvé; "La patience est un de ses atouts. Diverses orientations seront possibles : la recherche, les sciences exactes (mathématiques, physique, chimie...) ou les techniques de pointe, les activités qui visent l'Homme avec un grand H et son devenir (psychologie, astrologie, pédagogie, archéologie, écologie...) ou son bien-être (conseil)" . Qu'en dis-tu?

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    20. J'ai souri en lisant ce que vous évoquez ici sur les "Norma", Nathanaëlle et Marie-Paule.
      Incroyable !
      Un petit bémol sur la patience , peut-être, que j'ai assez grande mais pas autant que je le souhaiterais...
      En tout cas, c'est une description un peu idéale certes, mais avec des éléments qui me correspondent assez bien.
      Et surtout, cela me fait très plaisir que vous ayez pris la peine de chercher ces informations sur mon pseudo, toutes les deux !
      Et "chercheur de vérité", cela me plaît beaucoup !
      Un grand merci et plein de bises à toutes les deux, comme dirait Kali...

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    21. Pardon, je ne me suis pas expliquée : il y a quelques années, j'ai eu une période de maladie, et ma belle-mère m'a apporté (sur mon pauv' lit de malade lol) un livre sur l'astrologie et un autre sur la numérologie... Woooo la belle idée ! lol J'ai donc passé ma maladie et ma convalescence à étudier (c'est le mot) l'astrologie et la numérologie, au point que je peux encore calculer la puissance d'un chiffre, d'un prénom etc... je ne pouvais plus rien faire sans tout calculer lol Car tout a une résonance. Cela m'a passé heureusement lol Mais je n'ai pas de mal à repiquer au truc lol

      Oui le 7 est le chercheur de vérité, il est aussi la réflexion... si l'on a le 7 en nombre personnel, on a une vie intérieure très riche. mais le défi du 7 est d'équilibrer la vie intérieure à la vie extérieure.

      Exemple :
      Prenons le mot "chat" :
      3+8+1+2 = 14 (soit 1+4 = 5) 5 L'indépendance, la liberté, la mobilité, la curiosité du 5 ne sont-elles pas le propre du chat ? lol
      Tout est lié en ce monde... Tout a une signification mais je referme la parenthèse dans ce sujet dédié à la féminité... lol
      Gros bisous à toutes

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  4. Quel beau billet, les choses sont concises et bien exprimées. et tellement vraies ! Comme ce que dit Jean à propos du construit culturel, bien sur que cela ajoute à notre manière d'aborder la féminité ou pas... J'allais écrire "notre manière d'être femme ou pas" mais nous sommes femmes à la base.

    Au fil des siècles, ce sont les hommes qui ont décidé de ce que devaient vivre les femmes et comment elles devaient se comporter, et non l'inverse. Hélas.
    Au XIXe siècle, dans la "bonne société" on prenait les femmes pour des petites fleurs fragiles, le "sexe faible", or nous ne sommes en rien fragiles, et surtout pas faibles. La force musculaire n'a rien à voir là dedans. (je suis le genre de fille à soulever en même temps un pack d'eau à chaque bras lol et à les porter, of course lol)

    J'oserai ajouter que nous sommes individu avant d'être femme ou homme et la bétise humaine n'a pas de sexe. Il y a des femmes qui chassent, des femmes avec les défauts de la chanson de Renaud pétries d'une vulgarité insensée. Il y a des femmes sans une once de féminité, et je ne parle pas là de mode, mais de comportement. On voit des gens peu raffinés, homme ou femme lol Et ce n'est pas toujours une question d'éducation ou de manque de culture.

    Pour moi, il y a d'abord l'être humain, ensuite, cet être est homme ou femme, car je ne fais pas de sexisme. Il y a des hommes avec de belles valeurs qui ne se conduiront jamais mal, des hommes délicats, sensibles et francs. Et puis il y a les beaufs lol C'est comme les femmes. il y a les élégantes érudites et les "bécassines" lol il y a celles qui savent se mettre en valeur, et celles qui croient que s'habiller comme une ado à 50 ans va les faire paraître plus jeune, erreur cela les vulgarise.

    Certes le monde serait moins agressif, s'il était mené par la progestérone et non par la testostérone lol C'est pourquoi j'admire les peuples matriarcaux, comme en Chine ou en Afrique. Le monde marcherait mieux...Mais nous avons aussi besoin des hommes, comme les hommes ont besoin des femmes (je ne parle pas là de procréation, mais d'une complémentarité nécessaire à l'épanouissement de l'être, nous sommes 2 sexes complémentaires.

    Je "porte culottes" lol mais je me maquille au quotidien, pour me sentir bien, pour effacer les quelques défauts de teint ou foncer la couleur des lèvres. C'est avant tout pour moi, pas pour séduire le passant lol Car féminine ne veut pas dire jupe et chaussures découpées (que c'est moche une chaussure découpée ou une sandale ! Brrrr lol) Et bien sur, la féminité est aussi une question de douceur, de panache presque lol pas de faiblesse. Douceur élégance du geste, autant pour changer une roue que pour caresser un chat.

    Ah j'oubliais : le stéréotype de la femme des années 2010 (encore un diktat) : Porter des chaussures découpées en soirée, hiver comme été et dans collant ! Naaaan mais chat va pas ! Fait pas chaud l'hiver pour mettre ses pieds dehors, ils ne le feraient pas les hommes ! Qui a dit que c'était élégant ? Pas moi en tout cas lol Féminine n'est pas synonyme de crétine. Ce n'est pas pour autant qu'il faut porter de la grosse botte sans charme lol

    J'espère ne pas avoir été trop longue, car tes sujets nous font parler lol
    Belle rentrée Norma, fais comme cela t'arrange pour le rythme de ce blog, nous on s'y fera, pas de souci ! Il n'en sera pas moins formidable.
    Gros bisous et belle journée Norma ! Bon courage...

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    1. LOL, Nath, ôte moi un doute...t'aurais pas un problème avec tes orteils, toi??? Bon, je note: si un jour, j'ai le plaisir de rencontrer Nath surtout ce jour-là, j'évite de porter mes plus jolies sandales..:-)))))))

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    2. On va laisser Norma décider, c'est elle la spécialiste des chaussures! Mais comme Danielle je trouve que des chaussures ouvertes peuvent être seyantes!! Et à quoi servirait de vernir nos ongles des orteils si ce n'est pas pour les montrer de temps en temps?
      Mais laissons trancher la spécialiste!
      Bisous Nath.

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    3. Oui, c'est bien possible ! lol
      Un pied est beau lorsqu'il est chaussé, les orteils sont moins esthétiques lol Mais je ne juge pas une personne par rapport à ses chaussures ! lol
      J'aurai vraiment plaisir à te rencontrer, même en sandales ! lol
      J'ai toujours détesté montrer mes pieds, (pas à la plage mais avec des sandales) et l'aventure qui était arrivée à ma belle-mère en montant sur un bateau (elle y avait laissé son gros ongle) ne m'a pas confortée dans l'achat de nus-pieds...
      Je protège mes extrémités, et cela doit avoir une signification psychologique, Norma peut peut-être nous éclairer...
      Bisous Danielle

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    4. Vernir ses ongles de pieds ? Non vraiment ce n'est pas mon truc lol C'est ça, lorsque l'on parle de féminité qui me fait un peu lever les yeux au ciel lol on peut être féminine sans montrer ses orteils...surtout sans les montrer ! lol
      je viens de poster un comm en réponse à Danielle (j'espère qu'il est passé j'ai eu des difficultés à le valider) sur la mésaventure de ma belle-mère et son ongle au Père-Lachaise lol, qui m'avait guérie à jamais de me balader en sandales, mais je n'en porte jamais, je ne peux pas, je ne m'imagine pas avec des nus-pieds pas possible du tout, du tout, du tout...
      Oui Norma peut nous éclairer...Je ne dois pas être la seule à détester les sandales
      Bisous Marie-Paule

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    5. moi je prèfère les sandales qui sont fermès en pointe

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    6. Oui, la sandale au bout fermé est élégante. J'aime bien les salomés aussi.

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    7. il y a de bien belles sandales orthopédiques, pourtant , non??? LOL? MDR...c'est vrai j'aime bien ce débat sur les sandales,c 'est très amusant j'en oublierais que je dois penser repas pour le chéri...bises, les jeunettes.:-)

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    8. La pire : la Birkenstock ! Elégance et raffinement assurés ! lol C'est "the tanane" rédhibitoire lol

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    9. Je réponds tout d'abord au commentaire de Nathanaëlle, je reviendrai ensuite sur ce "jeu de pieds"...
      Ayant certainement eu une éducation plus traditionnelle que la tienne, j’ai joué à la poupée et j’aimais beaucoup ça ; en revanche, par la suite, j'ai adopté des activités dites plus masculines, puisque j'ai fait "sport études" vol à voile et que j'étais l'une des rares filles...
      Il est vrai que les attentes familiales et sociales en matière des rôles sociétaux des garçons et des filles vont se nicher dans les jeux qu’on présente aux uns et aux autres ; les attitudes parentales sont, elles aussi, déterminantes : pourquoi - et je l’observe encore dans certaines familles - demande-t-on aux filles de donner un coup de main pour débarrasser la table alors que les garçons restent assis ?
      Pourquoi les exigences parlées des parents quant aux études à envisager pour leurs enfants sont-elles encore fréquemment différentes selon le sexe de l’enfant ?.
      J’ai entendu récemment une maman me dire, au sujet de sa fille qui n’avait pas de bons résultats scolaires en mathématiques : "ce n’est pas grave, ce n’est pas pour les filles, ça ; d’ailleurs moi je n’étais pas bonne en maths et j’ai réussi ma vie…Et puis, elle est mignonne et elle se mariera…"
      C’est sûr que cette jeune fille se sent ainsi autorisée à ne pas être bonne élève en mathématiques et que le fait d’être mignonne, donc son apparence physique, jouera toujours un rôle important…
      Quant à son avenir, c’est le mariage !
      Voilà un exemple dans lequel les dires parentaux tracent déjà un chemin à une enfant, un chemin auquel elle se conformera ou s’opposera, mais une référence tout de même, voilà comment l’éducation affirme ses interdits et ses autorisés !
      De nos jours, une étude faite sur les manuels de mathématiques montre la faible place faite aux filles dans ceux-ci : les héros des petits problèmes numériques sont souvent des garçons, massivement lorsque ces problèmes traitent d’un sujet technique, voire informatique. Les problèmes réservés aux filles concernent encore souvent des activités ménagères…
      Voilà comment on transporte, souvent inconsciemment, les présupposés sociaux sur ce que doivent être hommes ou femmes…
      Nous, les femmes (et je m’inclus dans le nombre) nous devons nous interroger (et avec nos compagnons) sur la manière « discrètement différenciée » dont nous avons élevé nos garçons et/ou nos filles, je ne suis pas certaine que, par notre conduite, nous n’avons pas transmis ces stéréotypes sociaux (ou d'autres)…
      Je t'embrasse bien fort, Nath, je reviens ci-dessous avec cette "histoire de pieds" (lol).

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    10. Avant d'en venir à cette histoire de sandales et de pieds, je reprends l'une de tes phrases, Nath que j'ai beaucoup aimée :
      « Ce sont les hommes qui ont décidé de ce que devaient vivre les femmes et comment elles devaient se comporter ».
      Tout à fait vrai !
      Simone de Beauvoir affirmait : "l’inégalité homme/femme est culturellement construite, et non naturelle. En effet, au départ, la femme est l’égale des hommes, à la fois intellectuellement et physiquement. C’est l’homme, parce qu’il produit l’idéologie, parce qu’il est dominant, qui renvoie la femme à son altérité pour en faire un être inférieur, un être biologique…"
      J’aime bien aussi ce que tu écris : « la féminité est une question de douceur, de panache, pas de faiblesse ! »

      Mais, pour en venir à l'objet de notre "débat souriant", que t’ont fait les chaussures découpées, Nathanaëlle (lol) ? As-tu essayé d’établir d’où venait ton animosité à leur égard ? (et ne me réponds pas : « parce que c’est moche et c’est tout ! » (lol )
      Quel symbolisme se cache sous cette antipathie ?
      J’ai beau chercher dans mes référents psychologiques, je ne trouve rien.
      Alors, en vrac :
      Montrer ses pieds constitue toujours un acte d’abandon de certaines valeurs sociales (de protection, de quant-à-soi). Se déchausser crée immédiatement une intimité : c’est comme si l’on se présentait à l’autre dans sa nudité la plus absolue.
      Freud a rapporté le premier un cas de fétichisme du pied, cas dans lequel le pied devenait un symbole phallique...
      Le pied est décrit par ailleurs comme un centre primordial de la pudeur, de l'exhibitionnisme et de la sexualité. D’où le fait que certaines d’entres nous « martyrisent » cette partie de leur corps.
      Que nous soyons perchées sur 10 cm de talons ou constamment à plat, en sandales ou toujours "pied couvert", le choix de nos chaussures en dit, lui aussi, long sur notre état d’esprit ! Et que dire de celles qui accumulent les chaussures et les aiment toutes ... ?

      Est-ce cette intimité un peu dévoilée par leur échancrure que tu détestes dans les sandales, qui fait que tu les ressens comme vulgaires et… laides ?
      En tout cas, tu nous as bien fait rire avec ton aversion pour les sandales (et les orteils...), Nath, et c’était très sympa !
      Re-bises et à demain pour la suite de mes réponses !

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    11. Mon éducation était bien traditionnelle, pourtant, c'est ma nature qui ne l'est pas lol (je dis cela sans prétention aucune lol)
      On m'a, moi aussi, comme la jeune fille de ton exemple, sous-entendu que je n'aurais pas forcément à travailler, quelle horreur ! C'était me couper les ailes ! C'était ma grand-mère... ma mère, elle était plus dans l'acceptation de ma réussite, et mon père m'a trouvé lui-même l'école de dessin parisienne dans laquelle j'ai fait ma promo de 4 ans. Très attentif aux notes, il a été très content lorsque je suis sortie 3e de promo lol Un papa qui aimait mon choix, et une maman qui aurait préféré un métier plus sur... comme fonctionnaire par exemple. D'ailleurs, elle ne s'interesse toujours pas à ce que je fais, elle ne demande jamais à voir une illustration, ni à lire un conte, mais j'ai l'habitude... Par contre, elle vient lors des vernissages et le monde artistique que je lui ai fait connaitre depuis que je vis ici, lui plait beaucoup, je l'ai même initiée à lire de la Fantasy, elle a 83 ans et elle adore ! lol
      Venons-en au pied... lol

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    12. Merci Norma d'éclairer ma lanterne !

      Le pire, c'est la chaussure à laquelle il manque un bout pour montrer 2 orteils... Cela rime à quoi ce petit bout qui manque ? lol

      Lorsque ma maman m'a enfilé ma première paire de sandales, il parait que j'ai dit "c'est pas beau" (je ne m'en souviens pas j'étais petite) lol Déjà !
      En réfléchissant à ce que tu dis sur le fait de montrer ses pieds ou pas, c'est tout à fait juste, je ne lâche pas le contrôle facilement. Selon l'expression : je garde toujours mon quant-à-soi lol

      Et puis, l'esthétique a une grande importance, on est comme on est, certes, mais ne nous enlaidissons pas lol Au contraire, faisons nous belles !
      Et là, je reviens peut-être à l'éducation de ma maman... Je m'explique : elle était couturière, et le "ce qui se porte, et ne se porte pas en telle ou telle circonstance", m'a été inculqué très tôt. C'est aussi une question de bienséance de ne pas porter de tongs en dehors de la plage, il y a un moment, un lieu, une situation pour porter ceci ou cela, pour aller dans certains endroits, on s'habille etc... L'élégance se perd aujourd'hui.

      Ah les tongs ! lol J'en ai essayé une paire un jour, je me suis demandée comment on pouvait marcher avec ça ! Cela gène terriblement entre les deux orteils ! Je préfère être pieds nus (j'aime être pieds nus s'il fait très chaud)

      Le pied serait un centre de la pudeur, c'est tout à fait vrai, je le ressens bien ainsi. Mais la sexualité... Un pied n'est pas attirant... Enfin c'est mon avis.

      Je ne martyrise pas mes pieds, hou là ! lol Crèmes, soins, ils sont bichonnés (de vrais pieds de bébé) et n'entrent pas dans des chaussures qu'ils ne pourraient pas supporter, je les aimes mes petons lol (que je trouve tout aussi moches que ceux de tout le monde lol mais j'aime le confort lol) je me protège...C'est peut-être ça...

      Si l'on entre par là dans le débat de la sexualité, je suis assez cérébrale, et donc ta signification du peton qui ne s'abandonne pas est tout à fait juste.
      Mais à la plage, je n'ai pas de complexe pour montrer mes pieds, tu vas me dire : parce que à la plage tout le monde montre ses pieds... C'est l'endroit et le lieu approprié... On en revient à l'éducation...guindée ? lol

      L'intimité ne me fait pas peur puisque je parle de la sexualité, sans peur et sans timidité, je pense surtout que mon aversion est une histoire d'esthétique, je n'aime pas les pieds, et les fétichistes du pied me font rire, car je ne les comprend pas du tout ! lol Le fétichisme, quel qu'il soit, est un déséquilibre.(naaaan je ne me moque pas..quoique lol)

      Moralité : en bref, le pied, c'est pas le pied ! lol

      Gros bisous à toutes, je suis ravie de vous avoir fait rire avec cette histoire de pieds, je peux vous raconter des histoires de vilains pieds, j'en ai raconté un peu à Marie-Paule par mail. Ce sera pour une autre fois, si le sujet du pied est traité lol (je ne vais pas monopoliser ce débat lol)

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    13. Oh oui, Nath, nous traiterons le sujet du pied, tu te doutes, et tu nous diras comment tu bichonnes les tiens car je ne suis pas une fan des soins des miens, que j'aime bien par ailleurs (je crois que c'est ce que je préfère dans mon physique) mais pour lesquels j'ai des soins minimalistes (lait corporel après la douche et soin des ongles, bien sûr afin qu'ils soient impeccables).
      Il faut dire qu'ils sont sympas, supportent toutes les chaussures et toutes les hauteurs de talons, mais ils n'ont droit que très rarement à une couche de vernis transparent (ce que je ne mets quasiment jamais sur mes mains, mais j'expliquerai pourquoi prochainement)...
      Quant aux tongs, je n'en porte que dans la maison ou à la plage, je ne les trouves pas non plus très esthétiques même si j'en ai trouvé de très jolis en Italie.
      Tu sais, lorsqu'on vit dans une ville balnéaire, comme moi, on est souvent choquée par les tenues de plage que certains portent à la ville et je déteste cela, que je considère aussi comme un manque de respect.
      Et nous devons être très vigilants dans nos collèges et lycées où certains adolescents auraient tendance à se rendre en tenue de plage...
      Re-bisous et très bon week-end !

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    14. Très intéressant ce sujet sur les pieds. J'attendrai que tu en fasses un sujet à part entière pour intervenir. Je n'aime pas mes pieds..... ;-)

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    15. Coucou Norma. Je découvre ta question alors que tu viens juste de la poser.... J'ai des veines très apparentes sur le dessus des pieds (des mains aussi d'ailleurs) et je n'ai qu'une envie : les cacher car je trouve ça très laid, chez moi en tout cas.... ;-)
      Bisous :-)

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    16. Tu es sûre que tu n’exagères pas un peu dans ce regard négatif que tu as fréquemment sur toi (et accessoirement sur tes pieds...) ?
      Bisous.

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    17. Oups ! Je ne sais pas si j'exagère mais il vrai que je n'ai que peu de complaisance envers moi et qu'il faudrait peut-être que je revoie ma façon de me "regarder"... Je vais essayer d'y travailler.... ;-))))
      Bisous Norma

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    18. Et nous, les filles d'"Entre-filles", nous allons essayer de t'aider à te voir plus positivement, n'oublie pas que c'est l'un des objectifs de ce blog-forum !
      Re-bises, Oxy.

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    19. Vive la solidarité féminine ! Merci les filles d'"Entre-filles" ;-) :-)

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    20. Je souscris à ce que dis Nath, nous sommes comme nous sommes mais ce n'est pas la peine de chercher à s'enlaidir (je cite de...mémoire). Nous pouvons toutes tirer partie des avantages que nous avons et ne pas accentuer ce que nous pensons être nos petits défauts.
      Toi Oxy je ne sais pas comment sont tes pieds mais ils ne doivent pas être si laids que cela! Car je me souviens de tes jambes de sexygénaires qui m'avaient semblé très...avenantes!
      Bises à vous deux!

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    21. Exact, Marie-Paule, comme tu as raison de le faire remarquer à Oxy qui se déprécie toujours !
      Bravo !

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    22. Ah vi ! Je me souviens de cette paires de jambes des plus fines et jolies, j'aimerais bien avoir les mêmes... Je déteste mes genoux.
      Tu es magnifique Oxy !
      Bisous

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  5. Tu nous entraînes sur un chemin miné chère Norma avec ton sujet de rentrée. Je vais donc m'y aventurer à pas prudents mais sincères. Pour avoir travaillé pendant 20 ans dans un service où les hommes étaient majoritaires, je sais qu'il y avait trois catégories de femmes pour eux parmi leurs collègues. Bien sûr ils allaient au plus "simple" (à l'impssible les hommes ne sont pas tenus!!!), mais pourquoi pas? De certaines ils disaient, c'est un "mec" cette fille, de d'autres, c'est une "allumeuse" et des autres rien du tout, c'étaient leurs collègues "femmes". Celles qui avaient apparemment le curseur de la féminité au bon endroit à leurs yeux. La grande justice dans leur jugement abrupt (je n'ai pas dit justesse car tout se discute), c'est que les femmes à l'intérieur de chacune de ces 3 catégories avaient des physiques et des looks différents. Je crois donc que la féminité émane de l'intérieur de nous mêmes et qu'ensuite nous pouvons lui donner à l'extérieur le visage qui lui convient le mieux. Ce qui émane je crois que ce sont des gestes plus typiquement féminins, arrondis, sensuels, une sensibilité plus grande, même si elle est peut-être hormonale, un moindre besoin de domination comme tu le dis Norma, une plus grande ouverture d'esprit et surtout peut-être une absence de vulgarité.
    Je crois que nous avons de la chance de vivre en 2014 car nous pouvons nous vêtir comme nous le voulons et accéder à tous les métiers. En théorie du moins car, contrairement à toi Nathanaëlle, je crois que notre force physique reste majoritairement inférieure à celle des hommes. Cela se voit dans le sport. Je trouve très bien qu'il y ait des équipes de rugby féminines mais elles ne pourront jamais jouer contre une équipe masculine.
    Pour ce qui est des activités de la vie quotidienne, voilà tout de même un moment que les femmes peuvent se pencher sur un moteur en étant féminines et les hommes être en cuisine sans rien perdre de leur virilité. Une femme qui chasse n'en reste pas moins une femme, mais c'est une activité qui me choque chez elle comme elle me choque chez un homme. Ce sont alors d'autres paramètres qui entrent en jeu à mes yeux que le masculin/féminin, comme celui du respect de la vie et de la nature.

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    1. Oui la féminité vient de l'intérieur, tu l'exprimes très bien grâce à ton exemple. Là où je suis moins OK avec toi, c'est le besoin de domination ! Ouchhh ! Certes pas ! lol
      Oui bien sur notre force physique est moindre par rapport à celle des hommes, puisque les muscles sont aussi soumis aux hormones, (ils sont bourrés de testostérone les hommes ! lol) et nous ne pouvons rivaliser, mais je fais partie des "costaudes" lol des petites toutes en muscles lol ce qui ne m'enlève pas ma féminité, bah non ! lol
      Alors le rugby, c'est un sport vraiment pas esthétique ni pour les hommes ni pour les femmes ! lol Quel que soit le sexe, c'est bestial.
      Oui, nous avons la chance de vivre en 2014 et porter ce qui nous plait, mais je pense que si j'avais vécu au XIXe j'aurais été une George Sand (au point de vue vestimentaire), parce que la mise, c'est perso, et les hommes n'ont pas leur mot à dire, et encore moins la loi faite par des hommes et pour des hommes ! Elles en ont bavé nos mères et grands-mères, l'ouverture d'esprit du public n'était pas la même... Ma mère s'en moque, elle aime les jupes lol
      Oui, la chasse me choque autant chez l'homme que chez la femme. Nous ne sommes plus chez Cro-Magnon, si quelqu'un chasse aujourd'hui c'est pour le plaisir et non pour se nourrir et cet état d'esprit est primaire et négatif.
      a tout de suite pour la suite...lol

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    2. Je n'aime pas la chasse non plus (et surtout les chasseurs) !
      Bises du dimanche matin, Nath !

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    3. Par rapport à ce que tu dis, Marie-Paule, sur tes collègues, il y a un truc assez flagrant de la part des hommes... Si une femme donne trop d'informations, (maquillée, en jupe courte, en hauts talons) et pas timide, elle sera cataloguée comme "mauvais genre", et sera moins respectée...Certes, il faut la juste mesure en tout, et ceci est valable pour tous, hommes et femmes. Mais une femme a le droit de se vêtir comme elle le désire, or ce n'est pas perçu de la même manière par tous. C'est dramatique d'ailleurs...

      Parfois, une femme en robe, cataloguée comme un canon, ne dégagera rien, tandis qu'une femme, peut-être moins canon, mais axée sur une mise plus sobre, sera féminine car son attitude sera plus douce et agréable. La féminité ne tient pas à grand chose, mais ce petit plus que l'on dégage plus ou moins, fait une grande différence...
      Idem pour la virilité...
      Perso, je n'aime pas un homme trop viril, c'est déplaisant. (il me faut un homme propre et parfumé) Peut-être parce qu'ils (les hommes) croient que la virilité consiste (à se conduire comme un rustre or ce n'est pas cela du tout) à ne pas prendre trop soin d'eux, oui mais le poil, ça doit sentir bon ! lol
      .
      Mon mari prenait extrêmement soin de lui, à une époque (années 80/90) où l'on ne parlait pas encore de métrosexualité. Il utilisait des crèmes teintées, (non il n'était pas gay du tout) des masques pour réparer sa peau fragile après le rasage etc... Un précurseur ! lol

      Ceci dit, j'apprécie la compagnie des gays, pour la plupart ce sont des hommes raffinés et pudiques, enfin je parle de ceux que je connais.

      Mais là, je m'égare de la féminité, quoique, l'on ne puisse pas vraiment parler de féminité sans empiéter un tout petit peu sur le terrain de la masculinité... Nous aussi, nous ne sommes pas sensibles à tous les charmes de ces messieurs, ils peuvent se tromper sur leur virilité !

      En conclusion de se "débat" sur la féminité, mais je laisse Norma conclure, notre perception de la féminité est grandement déterminé par l'héritage maternel, on peut prendre le contre-pied de notre mère ou continuer dans son sens. Le regard de l'homme est déterminant aussi, surtout le regard de l'amoureux, parfois déclencheur. Nos amies, nos collègues, nos soeurs apportent aussi leur pierre à l'édifice...mine de rien lol

      Bisous à toutes et bon dimanche, prenez soin de vous toutes, j'ai un "rhube" de ouf lol Vitamine C... lol

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    4. J'ai prévu pour très bientôt un billet sur "la beauté au masculin", Nath, nous aurons sûrement beaucoup à dire sur le sujet...
      Re-bises et soigne bien ton rhume !

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    5. G'esbère gue du de sens bieux Nadhanaëlle.... ;-) Mais non, je ne me moque pas... Bisous :-)

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    6. Bouis lol ça ba bieux lol mais le bire baintedant, c'est la gorche... Je crache bes poubons lol Bas d'extinction de boix cette fois-ci, bais on d'en d'est pas loin ! lol
      Gros bisous Oxy !

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    7. Bois du grog au biel Nadhanaëlle : jus de zidron, biel et eau jaude.... Y'a que za de vrai....
      Bon rédablizement. Bizoux de loin (j'veux pas tes microbes...) ;-)

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    8. Ayé, cela va beaucoup mieux, merci Oxy. Je ne barle blus du dez lol et ma voix est normale, le citron chaud c'est très efficace. La dernière fois, cela n'a pas suffit, il a fallu consulter, antibiotiques etc... Gros bisous et bel après-midi !

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  6. Pour en venir à ma propre féminité, je crois n'avoir jamais eu de difficultés avec elle. Je me sens avec un esprit de femme dans un corps de femme. Ce qui n'est pas toujours le cas, nous savons que des femmes se sentent hommes dès leur enfance. Cela ne veut pas du tout dire bien sûr que je n'ai pas des problèmes avec ce corps de femme, avec mon apparence, avec les années qui passent etc. Comme la plupart d'entre vous je porte des pantalons ou des leggins au quotidien. La conduite d'une voiture ou d'une moto en est qund même bien facilité. Mais cet été j'ai acheté une robe longue pour aller aux petites soirées culturelles que nous avons eues à Kéa, avec boucles d'oreilles assorties et petit sac pochette trop mignon. J'y étais aussi bien que dans mon pantalon dans cette circonstance précise..
    J'adore les bijoux vous le savez mais je n'en mets que peu à la fois pour ne pas ressembler à un arbre de Noël. J'aime le vernis à ongles (blanc en ce moment car je suis vaguement bronzée) et le rouge à lèvres. Par contre je maquille assez peu mes yeux alors que je trouve cela magnifique sur les autres femmes. Je me parfume l'hiver mais beaucoup moins l'été pour éviter la photosensibilisation. Par contre j''utilise toute l'année un lait pour le corps dont le parfum tient très longtemps, plus longtemps même que beaucoup de mes parfums. C'est le Body milk shake "Cassandra" de chez Fresh Line! Bon, je papote soin de beauté mais je m'éloigne du sujet du jour.

    Tu as raison de passer à une fréquence de 15 jours pour la publication de tes billets. C'est un rythme moins effréné pour toi et tu nous laisses ainsi le temps de venir voir les réactions des copines et de pouvoir dialoguer.
    Encore bonne rentrée à toi et à Jean.
    Je t'embrasse bien fort.

    PS: j'ai dû couper mon commentaire en deux. J'avais dépassé le nombre de caractères autorisés!

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    1. Ah les pochettes pour le soir, j'adore le clutch ! Je ne sais pas pourquoi, je trouve cela chic, et pourtant cela fait "fifille" lol
      Un bijou à la fois oui, c'est parfait. Le vernis à ongles blanc ou nude ou gris clair est parfait, j'adore ! C'est plus rare chez moi, mais j'ai acheté recemment un mauve-grisé clair il est sublime.
      Tu vois on se ressemble aussi Marie-Paule !
      Gros bisous Marie-Paule !

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    2. Dans les milieux de travail que nous fréquentons ou avons fréquenté, Marie-Paule - qui sont aussi des milieux de pouvoir - il est vrai qu'être une femme n'est pas encore complètement "banalisé".
      Et je suis d'accord avec la classification que tu cites ici et les réflexions de nos collègues hommes au vu des différentes postures des femmes qui les entourent.
      Dans mon service, j'ai affaire au quotidien à de réelles femmes de pouvoir qui ont pris tous les emblèmes traditionnellement masculins et qui, même, forcent sur ces emblèmes... et c'est terrible !
      Il faut dire à leur décharge qu'il est très difficile de trouver sa place en restant vraiment "la femme qu'on est profondément", avec la réserve qui est souvent la nôtre et sans cette forme d’agressivité et de violence dans le rapport aux autres que je déteste.
      Par ailleurs, j'ai récemment fait remarquer à mon recteur, en réunion de cabinet, que pour lui, la parole d'un homme avait plus d'importance que celle d'une femme...
      Il s'en est suivi un grand silence autour de la table mais, depuis, il régule un peu son attitude, en apparence tout au moins, et peut-être a-t-il pris enfin conscience d’une forme de machisme qui est pourtant évidente chez lui... ?

      Par ailleurs, j'ai depuis longtemps très envie d'une robe longue avec accessoires, dont pochette, pour le soir ; d'abord, il faudra que je trouve l'occasion (mais pourquoi pas lors de l'un de nos voyages ?) et puis la robe !
      Mais cette perspective me plaît beaucoup en ce petit matin d'une journée que je vais consacrer au travail...
      Quant à ton lait corporel, je vais essayer de le trouver, mais il me semble qu'il est surtout vendu en Grèce ; mais avec internet, tout doit être possible !
      Je t'embrasse bien fort, Marie-Paule, à bientôt sur nos blogs et belle journée !

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    3. C'est vrai, il y a des femmes dont les postes à responsabilité leur font penser qu'il est plus sage de se vêtir de manière presque androgyne, même si elles portent des tailleurs, elles ne dégagent pas grand chose de féminin, j'en ai connu aussi. Elles font très "cheval" lol Peut-être craignent-elles que de porter plus de fantaisie dans la tenue leur ferait perdre un peu de crédibilité, voire de capacités... C'est un tort, mais le monde des affaires est un monde d'hommes, il faut s'uniformiser...Encore un diktat masculin !



      On ne peut trouver "Cassandra" de Fresh Line que sur le net, Marie-Paule ? Je viens d'aller voir, il n'y a pas de boutique en France, ni de dépositaire, c'est dommage lol

      J'ai aussi un lait corporel qui laisse une peau des plus douce et délicatement parfumée, c'est un cadeau de mon amie et je le recommande à tout le monde, c'est "Lotus et Fleur de Frangipanier" de la Sultane de Saba..Un délice ! Il n'y a que : beurre de karité / huile de coco / extraits de parfum. et surtout pas de paraben.

      http://www.lasultanedesaba.com/home.php

      Cliquer sur voyage à Bali

      Pour le soir, ben cela a toujours été smoking pour moi lol
      J'ai eu une robe du soir, un fourreau, (que je n'ai porté qu'une fois, vous vous en doutez lol) il était bleu pétrole. J'ai été mal à l'aise toute la soirée, je me suis sentie "en chemise de nuit" la fois suivante, ce fut le smoking, et monsieur n'a pas eu à discuter ! lol
      D'ailleurs, mesdames, les hommes sont assez attirés par le smoking féminin, enfin je ne sais pas si c'est ça, mais il y a quelque chose qui leur plait...lol
      Gros bisous les filles !

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    4. Merci pour la référence du lait corporel, Nath, j'aime beaucoup les laits et baumes corporels, je vais essayer de trouver celui-là puisque celui de Marie-Paule semble d'accès plus difficile.
      Je t'embrasse.

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    5. Si tu ne le trouves pas, je peux te l'envoyer. C'est un bonheur ce lait (pour mes petons aussi ! lol)
      Gros bisous

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    6. Merci, Nath, je te tiens au courant.
      Re-bises.

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    7. J'ai noté aussi la référence du lait de Nath car je suis fan de laits corporels et en ai essayé quantité. J'ai souvent été déçue aussi. Longtemps j'utilisais le fluide hydratant de Neutrogena (je crois que c'était cette appellation mais je n'en suis plus très sûre) qui avait (à mon sens) le plus doux des parfums, mais je ne sais pas pourquoi ils ont depuis longtemps changé le parfum et j'ai donc dû me rabattre sur d'autres produits sans jamais retrouver cette fragrance si douce, légèrement fleurie qui m'apaisait dès le matin....

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    8. Idem pour toi, Oxy, si tu ne le trouves pas, je te l'envoie. il me suffit de passer au salon de beauté Aquazen ! lol
      Gros bisous

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    9. Merci Nath pour la référence. Je vais moi aussi me mettre en chasse ces jours-ci où je suis à Toulouse. J'aime découvrir de nouveaux laits ou de nouvelles marques. En Grèce je trouve bien sûr toutes les grandes marques mais j'aime bien aussii deux marques découvertes là-bas et qui sont grecques: Fresh Line et Korres. Korres est vendu en pharmacie et peut-être qu'on le trouve ici aussi. Je n'ai pas fait attention.
      Quant à mon lait grec Norma, je vais essayer de te l'envoyer. Il est assez "intense" et peut-être l'aimeras-tu pour l'hiver.

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    10. Tu es adorable, ça me fait très plaisir, Marie-Paule !
      Un grand merci et des bises, es-tu heureuse d'avoir retrouvé Toulouse?

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    11. Oui bien sûr que je suis heureuse de ce passage à Toulouse même si mes "amours" sont restées à Athènes, mes deux hommes.
      Je trouve juste qu'il y fait un peu trop chaud. Je plaisante mais tout juste. Après deux mois à un peu plus de 30° en Grèce, j'aspirais à des balades plus fraîches ici. Et il fait aussi 30 ici! Alors tu vois, moi la lève-tard, je me lève tôt et je me balde le matin. L'après-midi, c'est pour la famille et les amis!
      Plein de bises à toi aussi!

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    12. Oh oui, il fait très chaud dans le sud-ouest, j'ai eu des nouvelles du "pays" et il paraît que c'est épouvantable.
      Mais profite bien de cet autre chez-toi, tu retrouveras tes deux amours avec d’autant plus de bonheur.
      Re-bises.

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  7. aussi dans ce aspect de ma vie, j'oscille souvent entre deux coins: une Cristina féminine (mais toujours sans excés) et une autre (beaucoup) plus "casual".
    et si d'un côté je regrette de n'avoir plus de caractère, de l'autre je cherche de me consoler en me rappellant cette citation-là: "je ne cherche pas une identité, je trouve au contraire que changer d'identité enrichit la vie".

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    1. Oh, oui, Cristina, changer d'identité élargit l'horizon, ouvre de nouvelles portes, c'est bien de rester un personne" à découvrir"
      Danielle

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    2. Je porte pas mal de style Casual aussi, mais toujours agrémenté d'un pendentif, d'un bijou ou de chaussures pour donner une touche élégante.
      Une fille que j'adore, pour son style, (j'ai le même lol) pour sa sympathie etc, c'est Inès de la Fressange,

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    3. Je ne vais pas rendre les armes aussi facilement dans "la guerre des sandales"LOL! J'adore moi aussi Inès de la fressange, je trouve qu'elle est très féminine tout en étant femme d'affaire. Elle n'a pas le physique d'une petite poupée et pourtant quelle classe! Et bien elle porte des sandales... ouvertes! J'ai trouvé plein d'exemples sur ses photos Internet Lol! Je te les envoie Nath! MDR!
      Je respecte tes pudiques orteils mais je suis contente d'avoir découvert grâce à toi que je ressemble un peu à Inès! C'était pas gagné!

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    4. Hé hé la guerre des sandales, comme la guerre des boutons lol
      Oui Inès a une classe infinie, j'aime bien cette fille toute simple et sympathique, qui dégage de la positivité. pour celles qui ne connaitraient pas ses "petits carnets" allez sur le site de Roger Vivier...
      J'ai bien reçu tes photos, j'e t'en envoie d'autres, où nos styles se rejoignent (sans sandales lol)
      Gros bisous Marie-Paule, cette guerre des sandales, c'est le pied pour rigoler un peu ! lol

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    5. C'est une belle citation, Cristina, mais je pense qu'on ne change pas d'identité.
      Notre identité évolue avec le temps, on la construit, cela est certain.
      En revanche, certaines d'entre nous se glissent, plus facilement que d'autres, dans des apparences identitaires différentes, mais cela ne va pas au-delà de ces apparences.
      Nous dirons que "nous changeons d'identité stylistique" et que peut-être chacune d'entre elles reflète une partie de ce que nous sommes profondément, mais nous ne changeons pas d'identité profonde.
      J'ai pour ma part un peu de mal à changer de style, je crois que j'ai besoin de cette continuité dans mon style (j'emploie ce mot sans prétention), certainement pour affirmer mon identité ou peut-être parce que le temps (et le travail d'analyse) ont fait que maintenant elle est affirmée et ne veut s'afficher que dans une unique apparence...
      Je t'embrasse très fort, Cristina et je t'écris dès que j'en ai un peu le temps.

      Pour participer à la guerre des sandale, je me range dans le camp des sandales, bien sûr !

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  8. C'est un sujet complexe qu'il faut aborder avec beaucoup de retenue et de compréhension car, forcément, nous avons toutes des vécus différents,des approches personnelles , selon notre âge, notre métier, nos attaches familiales ou autres.Je marche vers mon 72 ième anniversaire.A mon âge, je n'ai plus du tout les mêmes attentes, les mêmes préoccupations que la plupart d 'entre vous.Et puis, je n'ai pas travaillé à l'extérieur.Et c'est là un point, ce me semble, très important.
    Le travail des femmes n'a pas toujours été une obligation économique comme ce l'est aujourd'hui dans la plupart des cas. A l'époque de mon mariage, au début des années 60, travailler à l'extérieur était , pour la plupart des femmes, une façon de se réaliser après avoir mené à bien des études choisies qui leur ouvraient la porte d 'une carrière gratifiante . C'était avec la fierté de ne pas devoir dépendre financièrement d'un homme, un premier pas vers la liberté!.Ceci dit, je connais des femmes qui ont été parfaitement heureuses et épanouies dans leur rôle de femme au foyer.C'était dans leur caractère et c 'est très bien ainsi.Moi, bien que j'aie fait le choix de renoncer aux études qui me plaisaient, même si je me suis d'une certaine façon amusée à être durant un bon moment une fée du logis, je m'interroge sur ce qu'il serait advenu de moi si je n'avais pas eu l'opportunité, grâce aux fonctions de mon mari, de faire des rencontres intéressantes.Etre, pendant 12 ans, l'épouse d'un échevin de la culture quand on aime déjà l'art et la littérature, cela ouvre des perspectives.Expositions, vernissages, récitals, concerts, rencontre avec des artistes, tout était nouveau et enrichissant pour moi.
    Oui,j'ai renoncé à mes études, me suis mariée, avec un homme plus âgé, déjà bien installé dans la vie et qui souhaitait une épouse à la maison pour élever les enfants qu'il espérait bien avoir.Je sais qu'il y avait aussi l'influence maternelle qui jouait en faveur d'une femme sans liberté.C'était son avis à elle.Heureusement celui de mon mari était beaucoup plus généreux, je l'ai vite compris. Je n'ai pas eu à vivre dans son ombre bien au contraire, il me voulait dans la lumière et les années passant il s 'est beaucoup amusé d'être appelé Monsieur B.plutôt que Monsieur T. J' avais fini par lui voler la vedette et il en a été très fier.
    Au début de notre mariage, face aux réflexions - un rien méprisantes-des femmes que j'ai été amenées à fréquenter ( des femmes de l'âge de mon mari, universitaires ou non, mais engagées dans la vie active) je me suis sentie tellement diminuée qu'il a bien fallu tout l'amour de mon mari et sa patience pour que je me sente mieux dans ma peau.
    Il lui a fallu me démontrer, point par point , l'importance et la richesse de tout ce travail "intérieur" que j'allais être amenée à faire.Femme au foyer, oui mais pas ménagère en bigoudis et surtout libre, à ma façon.
    J'avais quand même l'acquis de mes études classiques,un certain bagage culturel qui ne demandait qu'à être exploité et surtout j'ai toujours aimé écrire..J'ai eu comme toutes les femmes des moments de passage à vide, des déceptions, des envies de tout lâcher.J'ai eu des moments de colère et de désespoir- mais oui-.dont mon mari n'a rien su.
    Il m'a fallu 20 ans pour devenir ce que je suis aujourd'hui!
    ...à suivre :-)

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    1. Un homme qui accepte d'être le mari de sa femme, et non "monsieur X et madame le suit", est un homme comme on aimerait en connaitre plus souvent, bien qu'aujourd'hui les hommes soient plus ouverts sur ce plan, il existera toujours des machos.
      Tu as tu tes moments de désespoir, tu ne les as pas partagés, vu que ton mari semble très gentil et très compréhensif, il t'aurait surement soutenue.
      20 ans pour être celle que tu es, je pense que l'on met toute une vie à devenir la personne que l'on voudrait être lorsque l'on a 20 ans. On se construit petit à petit... On est plus fougueux lorsque l'on est jeune, on a moins de patience, surtout avec soi.
      Je lis la suite... ;-)

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    2. Quand j'avais 20 ans, je n'avais aucune idée de la personne que je voulais devenir.Je crois que j'ai eu une enfance trop mouvementée( sans être malheureuse).J'avais un immense besoin de me poser, de prendre vraiment racine quelque part.J'ai eu beaucoup de chance, Nath, il y avait, à mon insu, un jardinier qui me regardait" grandir depuis un moment et qui a su quand il pouvait s'aventurer à me parler d'un jardin qui deviendrait le nôtre.Oui, j'ai eu beaucoup de chance car le jardinier était et est toujours de confiance.

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    3. Je réponds à cette première partie de ton commentaire, Danielle.
      Tu as eu vraiment de la chance d'avoir un tel mari, tu sais, qui n'a jamais pris ombrage de la place importante que tu as prise, et, mieux, qui t'a incitée à la prendre !
      Sais-tu que la plupart des jeunes femmes que je rencontre (en 2014 !), celles qui ont une profession reconnue et qui y réussissent, avec, de plus, une grande visibilité et reconnaissance sociales, ont des problèmes avec leur mari, qui vit très mal leur réussite alors qu'eux-mêmes restent "dans l'ombre" ?
      C'est l’une des clefs essentielles qui m'aide à appréhender leurs problèmes de couple.
      J'ai même une amie très proche, confrontée à une aversion profonde de son compagnon, aversion qui s'est révélée lorsqu'elle a réussi un concours qui a fait d'elle une femme à statut professionnel important !
      Je donne ces exemples - si fréquents - pour mettre encore en évidence, si besoin était, les qualités et l'amour réel de ton mari !

      Par ailleurs, comme je le disais plus haut en réponse à Cristina, on met du temps à se construire, Danielle, et une construction n'est pas un long fleuve tranquille, douleurs et moments de doute en sont le prix à payer, et nul (nulle) n'y échappe.
      Et certains de ces moments ne peuvent être que solitaires (soi face à soi) et je comprends parfaitement que tu les aies vécus ainsi.
      Mais le résultat est là, une forme de "cohérence de soi" à laquelle on parvient et qu'on décèle très vite chez ceux et celles qui y sont arrivés par l'empathie qu'ils montrent envers les autres, le degré de tolérance qui est le leur, également, et tu possèdes tout cela, Danielle.
      Je poursuis plus bas...

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    4. Chère Norma, Oui, j'ai eu beaucoup de chance et j'en suis intimement consciente.Aujourd'hui, mon cher mari est un vieux monsieur, très attentif au bien-être de ses femmes ( nous sommes 5 autour de lui), amoureux transi, comme disent mes filles MAIS, il a été un homme jeune avec des idées bien à lui et oui, un rien macho.Le rouge à lèvres et le maquillage ne sont pas nécessaires ( autant dire qu'il n'est jamais parvenu à m'imposer ce diktat et quoi encore!), pas besoin de savoir conduire, il était là oui mais, une de nos amies entreprit contre son avis de m'apprendre à conduire, elle me mit sa belle Carmengia entre les mains pour quelques leçons mais, j'ai perdu la grossesse que j'ignorais et après, il m'a fallu un peu de temps.Une fois les filles devenues adultes, il commençait encore à râler et là, je lui ai reproché mon manque à moi :" Je ne t'ai jamais interdit de conduire( Ah?) mais moi je n'aurais pas pu t'apprendre!!! -D'accord, alors tu pouvais m'offrir des leçons de conduite....De toute façon tu n'aurais jamais conduit MA voiture...!-Quant à une carrière, en admettant que j'aie travaillé à l'extérieur, je ne sais pas comment il aurait réagi à mon apport financier! Mon amie depuis trente ans, est redevenue femme au foyer au moment de son mariage parce que une femme d 'ingénieur ne travaille pas! Elle a su faire avec et s'est lancée dans l'artisanat d'art.
      En fait, je crois que le problème de mon mari fut surtout sa mère très très possessive et ses idées .
      Ah, les hommes...

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    5. Quand tu décris ton mari, Danielle, je ne le trouve pas macho, même si certains de ses comportements pourraient être qualifiés de machistes.
      Je crois qu'il est allé très loin dans la remise en question de son éducation, et surtout ...de sa mère, aussi loin qu'il a pu, par amour pour toi qui devais être fort différente de cette mère à laquelle il était tellement lié...
      Je dis toujours à mes amies, et aussi aux femmes que j'accompagne, que le grand amour de leur compagnon est d'abord leur mère, un amour inconditionnel avec lequel nous devons toutes "faire"...
      Nous devrons aborder un jour ensemble ce thème de "nos hommes et leurs mères" au travers d'un sujet "léger" (nous trouverons bien !), conforme à la thématique générale de ce blog car je crois que nous aurons beaucoup à dire et à échanger.
      Je t'embrasse très fort, Danielle, merci de ta confiance, je te souhaite une très bonne soirée !

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    6. Danielle, je reprends ta phrase : "Quand j'avais 20 ans, je n'avais aucune idée de la personne que je voulais devenir."
      Je crois que nous avons été nombreuses dans ce cas, pas encore totalement sorties de adolescence, pas construites, et avec ce sentiment de ne pas savoir qui on était...
      Pour moi aussi, une forme d'équilibre et de bien-être est venue plus tard, aux alentours de la quarantaine, auparavant, je n'étais pas encore bien "cohérente", il me semble...
      Bises du dimanche matin.

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    7. Danielle, cet éloge que tu fais de l'intelligence, de la compréhension et de l'amour de ton mari m'a beaucoup émue.

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    8. Tu sais, Oxy, comme une jeunette ,j'ai eu parfois des envies de ruer dans les brancards ...et lui imperturbable a fini par me dire :" heureusement,qu' à l'univ, j'ai eu des cours de psychologie.:-))Aujourd'hui, et il est le premier à en rire, c'est moi qui tiens les rênes...et dit-il à nos filles et à nos amis... je ne suis vraiment plus rien, je lui ai même confié mes cartes de banque,!! Et ça...bises, Oxy.

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    9. J'admire beaucoup Danielle comment tu as su te construire en étant aimante mais sans te renier. Bien sûr qu'il y a des périodes où l'on a envie de ruer et où l'on se sent mal. Si quelqu'un me dit n'avoir pas de problème avec sa vie intérieure ou son physique, je crois entendre un extra-terrestre, pas une femme ou un homme d'ailleurs.
      Quant au sujet de nos chéris et de leur maman, c'est effectivement un sujet très intéressant.

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    10. Tout à fait d'accord avec ta phrase, Marie-Paule : "Si quelqu'un me dit n'avoir pas de problème avec sa vie intérieure ou son physique, je crois entendre un extra-terrestre, pas une femme ou un homme d'ailleurs. "
      des années d'écoute ne m'ont jamais fait rencontrer cet oiseau rare, ou alors, il s'agissait seulement d'un "déclaratif", dont les fondements étaient fort contestables.
      Oui, nous aborderons un jour le sujet de "nos chéris et leur maman" !
      Je t'embrasse bien fort.

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    11. On ne peut pas se renier Marie-Paule, du moins lorsque l'on a un peu d'amour propre, même sans l'ambition, on ne peut pas éternellement s'éffacer, ou alors on est un robot lol Chaque personne a besoin d'être reconnu socialement, pour elle. On a un moteur inconscient, enfin quelque chose qui nous fait espérer et nous pousse, c'est normal.
      Bisous Marie-Paule.

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  9. Féminité".Moi j'aime assez la chanson de Sardou" Femme des années 80" car les années 80, furent mes années à moi. Celles durant lesquelles j'ai pris mon véritable envol . J'avais la quarantaine, les filles étaient pratiquement élevées, il était grand temps que la femme-enfant que j'avais été, prenne son essor. Femme au foyer, ce n'était pas du tout la carrière dont j'avais rêvé mais puisqu'il en était ainsi, cette vie-là je l'avais empoignée à bras le corps devenant au fil des années et après tant d'espoirs perdus : mère de deux filles , cuisinière,hôtesse, femme de ménage,infirmière, couturière, épouse bien sûr ;-) mais aussi, sans lâcher mes boucles d'oreilles , mes ballerines et mon rose à lèvres: peintre-tapissier, maçon, électricien pour le plus grand bonheur de l'homme de la maison incapable de planter un clou ou de pendre un lustre. Bon, je reconnais, il soignait le jardin potager ce qui n'est pas du tout négligeable. J'ajoute que le samedi après-midi ,régulièrement, il gardait, nourrissait, changeait les bébés pour que je puisse m' évader vers la grande ville.Le mercredi, il faisait pareil car, ma première manifestation d 'indépendance avait été d'aller proposer mes services à la consultation des nourrissons." Quelle idée, m'avait-il dit, tu en as un qui pleure à l'envie ici à la maison et tu vas encore en entendre des autres !!!"Oui, mais la consultation des "petits noirs,je la faisais déjà au Congo durant les vacances, je savais de quoi il retournait .J'ai donc été dame d'oeuvre durant 30 ans. Femme au foyer mais aussi compagne d'un homme politique avec tous les impératifs de la fonction: être au top , coiffée, habillée, etc. quand le programme l'exigeait et aussi se montrer à la hauteur des femmes plus âgées que moi et bien plus rôdées à l'exercice et aussi de mes voisins de table qui n'étaient pas tous des " n'importe qui".De ce côté-là, je voue une reconnaissance infinie aux bénédictines dont la plupart portait des noms à rallonge qui ont veillé à nous donner "LA" bonne éducation.
    Tout au long de ces années " d'évolution personnelle", me suis-je un jour posé la question de ma féminité? Jamais!. J'assumais, tout simplement( mais je ne vous le cache pas avec aussi des difficultés et des découragements) mes responsabilités de mère et d 'épouse, profitant des nombreuses soirées solitaires pour reprendre ma plume. La parution de mon premier recueil m'ouvrit la porte de la vie culturelle régionale où je garde encore ma place même si je m'y implique moins.
    Au moment des honneurs et des récompenses, alors que l'on me reconnaissait quelques mérites, les même pécores me disaient encore" Oui , toi tu as le temps, tu ne travailles pas! Mais tu sais , j'ai toujours été une de tes admiratrices.- Allez donc! J'avais vieilli et mûri,j'ai décidé de trouver en filigrane de ces commentaires une bonne dose d'envie. J'avais ma revanche ! Pourquoi devrais-je être modeste et taire ce que je suis parvenue à faire de cette vie de "femme au foyer" .Ma Justine me disait l'an dernier:" Mamy, toi, tu es une femme extraordinaire?"-Que voulait-elle dire par là- " Et bien, Maman m'a dit que tu avais des livres etc-.J'avais compris et pourquoi ne serais-je pas, effectivement, une mamy extraordinaire , celle qui cuit des gâteaux, met du rouge sur les bôbôs mais qui a aussi à son actif une oeuvre littéraire reconnue par la Communauté française, son nom dans les encyclopédies dialectales ,un siège parmi les 40 de La Société de Langue et de Littérature wallonne. Mon amie me reproche souvent d'être trop modeste alors voilà,cette fois, j' ai tout lâché!Soyez indulgentes!
    ...y en a encore à venir..

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    1. Tu étais épouse et femme d'intérieur à plein temps, il a bien fallu que tu t'exprimes, que tu deviennes toi, que tu vives pour toi, et tu y es parvenue grâce à ta plume, c'est cela "femme extraordinaire". Car on ne peut viscéralement pas s'éffacer en permanence, se faire belle au moment où il faut, sans au bout du compte, avoir son triomphe perso.
      Je te comprends tout à fait, ce n'est pas de l'indulgence, tu exprimes des sentiments humains. Les femmes au foyer (et le labeur était bien réel) ne sont pas des marionnettes en papier, elles ont besoin de s'affirmer, d'être reconnues en qualité d'être humain, c'est normal.

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    2. Il n'y a aucune marque d'immodestie à dire les réussites de sa vie, Danielle et les tiennes sont grandes.
      C'est là aussi un signe d'une construction de soi établie : pouvoir dire sans ostentation mais avec sincérité ce qu'on a réussi, sortir de l’hypocrisie qui fait taire ses réussites, ou les dire "par la bande"...
      Il est bon de s'accepter dans ses réussites comme dans ses échecs et pourtant, nous autres femmes avons eu très fréquemment une éducation qui nous incitait à minimiser, voire à taire nos succès ; en tout cas, cette éducation a été celle de ma famille et j'ai essayé de ne pas la reproduire car elle engendre de grandes frustrations et une image de soi souvent bancale.
      Et bien sûr que tu es une mamie extraordinaire, rares sont les enfants qui ont une mamie avec un tel palmarès littéraire, humain et "intérieur", dans le sens d’une construction de soi établie.
      Je t'embrasse très fort et te retrouve ce soir pour la suite de tes commentaires.

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    3. Bravo pour ton parcours Danielle. Ta vie est passionnante !

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    4. Chère Oxy, Je crois que nous avons toutes des vies passionnantes quand nous avons l'opportunité de nous épanouir dans notre travail et (ou) dans une autre activité.Je crois qu'ici nous avons toutes un esprit d'ouverture, des envies d'enrichissement humains.Nous avons déjà le goût du partage, de l'enthousiasme à revendre...nous ne manquons pas d'humour ce qui nous permet d'envisager notre quotidien avec un certain décalage , bref, nous aimons la vie et alors forcément celle-ci devient passionnante.Je t'embrasse, Oxy et je pense intensément à ta sciatique LOL.

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  10. Bien sûr être femme ne se résume pas à l'apparence, c'est bien plus intime comme vous le dites toutes si bien.Je pense avoir fait feu de toute ma féminité au cours de ces 50 dernières années.Une féminité qui ne s 'est pas résumée aux délices du" Home sweet home", du" Shabi chic" comme on dit aujourd'hui, des réceptions et des robes de bal.Voici ce qu'a écrit à mon intention un auteur belge , dans la préface de mon premier recueil de poèmes """ :"Féminitude" titre qui a lui seul renferme un monde de significations.Titre qui bouillonne, qui exulte.Titre qui me plaît, car j'ai toujours respecté profondément ce qui motive un auteur à se définir, à tenter de se dessiner sur le fond des contradictions et des mystères de l'existence.Si d'aventure, il arrive que d 'aucuns se sentent enclins à lui attribuer d'emblée l'idée de sujétion" à la condition" de femme la rivant à ses devoirs, à son destin, qu'ils se détrompent! Comme moi, bien vite, ils vont se pénétrer de la conviction que cette" féminitude" n'est autre que la belle, la profonde féminité, dans toute l'acception du terme.Le sens véritable des intentions, la sincérité de Danielle T. ne peuvent nous échapper.Dès les premiers vers, on la suit sur ce chemin des destinées consenties,des apprentissages acceptés, des déchirements assumés en pleine connaissance et avec tout l'amour qu'un coeur peut contenir."
    C'était mon premier recueil, celui qui réunissait les écrits d'une jeune femme nimbée des nuages d'une vie en rose.Le second recueil fut celui des tourmentes ( c'est celui que mon mari déteste ;-) parce que comme disent mes filles, il n'est plus question de bonheur naïf, et il se sent comme fautif.Et pourtant,c'est le meilleur de mes alliés, mon supporter numéro un. Le jour de mon élection à la Societé de LL, , mes filles qui assistaient à la cérémonie me dirent:" Tu as fait fort, regarde papa, Il est scié! :-)
    Nous parlons d'une féminité que je revendique et pourtant, chez nous, c'est le papa qui est mère poule, encore aujourd'hui.
    Pour le reste,
    La femme a toujours été au centre de mes réflexions et de mes écrits.La mère, l'épouse mais pas seulement.Il y a aussi, les femmes qui souffrent, celles qui sont exploitées, qui sont prisonnières d'un destin qu'elles n'ont pas choisi, celles qui hésitent à franchir le pas qui les rendra maître d'elles-mêmes. Il y a les jeunes, les moins jeunes et les vieilles que l'on abandonne, les laissées pour compte,les femmes dans la guerre,celles qui soignent et consolent.Celles qui assument leur vie, les bons moments et les plus dramatiques.
    Pour terminer plus légèrement,
    J'ai toujours aimé être bien habillée, je me maquille très peu et juste quand il le faut, j'aime les jolies robes même si je porte à présent des pantalons pour le confort quotidien.Mais pour un événement particulier ou une soirée chic , je porterais une robe et s'il le faut, les gants jusqu'au coude , la pochette assortie...et les sandales ad hoc bien entendu !J'ai des réserves !LOL!
    FIN!!

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    1. Très belle préface, touchante, même...
      On aimerait bien lire un de tes recueils, Danielle, ils doivent être pétris de sensibilité, ce que tu écris nous mets l'eau à la bouche, (moi en tout cas ! lol).
      Ne cherche pas la féminité, tu es la féminité qui a du se battre contre les idées reçues et les diktats, tu en as triomphé. Merci Danielle, merci d'être la femme que tu es.
      C'est la mode des pochettes pour sortir, j'aime bien aussi ! lol J'aime bien le clutch.
      Si je puis me permettre "Shabby chic" n'est pas vraiment Home Sweet Home, c'est un style décoratif un peu bohème, il y a des trucs sympas, mais le coté brocante me déplait fortement, je suis plus "contemporain chic" lol là aussi, je me plais dans le blanc épuré, style Ligne Roset, il ne me faut pas trop de fanfreluches dans la déco lol comme dans la tenue lol

      Gros bisous Danielle, merci pour ce beau témoignage de féminité.

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  11. Oh, la, la..j'ai été très bavarde et je m'en excuse.C'est l'automne qui me travaille l'esprit.J'ai beaucoup parlé de moi mais comme me dit souvent mon amie -femme au foyer et artisan d'art- pourquoi devrions-nous passer sous silence nos réussites ? UN homme n'a aucun scrupule à sortir sa carte de visite et d 'aucuns ne se contentent pas d'une seule face tant ils veulent aligner leurs divers titres.
    Ceci dit, le titre de mon premier recueil-épuisé depuis belle lurette- est" Féminitude" et si l'une de vous est intéressée par le texte qui le symbolise voici un lien
    http://www.carnetsvenitiens.com/carnetsv%e9nitiens/ecrire%20en%20wallon/ecrire_en_wallon.htm

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    1. BRAVO! je suis allée voire! BRAVO!!!!

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    2. Bravo Album Vénitien, tu as très bien exprimé tout ce que tu voulais dire et comme l'écris Paola, nous sommes das ce salon ouvert pour nous par Norma alors profitons de ce lieu privilégié. Bisous à toi et à Paola !

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    3. Oui, bravo Danielle, je viens d'aller voir ton lien, Woooow !
      Bien sur que non il ne faut pas passer sous silence nos réussites, tout en restant modeste, on a le droit de dire ce que l'on fait, sinon comment le faire connaitre ?

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  12. non, non, Danielle,NOUS sommes très bavardes! et nous sommes dans ce salon que Norma à nous ouvert pour bavarder!

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  13. Oui, ainsi que le dit Paola, nous sommes toutes plus ou moins bavardes, certaines se livrent plus que d'autres, mais ce blog génial est un merveilleux endroit pour le faire, car personne ne juge personne, on parle et on se sent bien ici. Merci Norma !

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    1. Merci les amies, le but de ce blog est effectivement que nous parlions de nous dans un climat serein, sans jugements et dans l'empathie, et au travers de sujet en apparence légers.
      Je viens de suivre le lien de Danielle et je lui dis un grand bravo.
      J'ai aimé plus particulièrement les vers suivants, ce ne sont pas les plus optimistes mais certainement ceux qui me parlent le mieux :
      "Je guette mes lendemains
      et l'âme diluée d'incertitude et de chagrin,
      j'assume ce destin qui n'était pas le mien"
      J'aime beaucoup l'image de "ce destin qui n'était pas le mien", elle ravive une impression que j'ai souvent eue.
      Encore félicitations, Danielle et merci à toutes de faire vivre si harmonieusement ce lieu de la parole.

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  14. je ne peux tout lire..dommage, je trouve que les cimetières sont plein de
    ' madame george ...robert... henry...' elles n'ont pas existé ... pas d'existence propre..
    mon éducation était très féministe..et je le suis à fond! malgré les 'birkenstock'..que je ne porte plus.. elle me font mal au pied... :)))))

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    1. Ah oui, les madame Jacques Dupont, madame Henri Machin, on en a vu partout, sur les courriers aussi ! Et le prénom de la dame alors ? Cela revient à nier la femme... Elle n'était rien. J'étais assez MLF lorsque j'étais ado...Et je reste féministe et le resterai toujours. Qui est féministe est saine d'esprit !
      Merci Elfi !
      Gros bisous

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    2. Et les plaques des portes d'entrée des maisons et appartements portent encore ces traces de la domination de l'homme.
      J'ai regardé près de chez moi, hier, et nombreuses sont en effet les plaques avec M et Mme Roger X..., par exemple...
      Pas besoin d'attendre le cimetière pour se faire déposséder de notre prénom et... de notre identité !
      Bisous à toutes les deux, une remarque bien juste, hélas !

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    3. Idem chez nous, mais tu as pu vérifier...

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    4. oui aussi chez nous!

      mais il faut dire que nous sommes aussi habituées a utiliser notre nom dans notre quotidien

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    5. Alors que chez nous, il est encore rare d'utiliser son nom de jeune fille ou de mettre les deux...

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    6. Et voici le paradoxe...mon premier ( et dernier passeport), mon diplôme de fin d'études, le contrat de mariage, l'acte de mariage, avant mon mariage, les seuls documents ornés de mon nom de jeune fille. Après, je me souviens de l'émotion ressentie en écrivant mon nom de femme mariée.Aucune idée d' abdication,juste de la fierté à porter le nom de mon mari.Lorsque je me suis remise à l'écriture, tout naturellement j'ai signé: Danielle Trempont.L'idée d'utiliser mon nom de jeune fille ne m'est même pas venue.Les gens ont fini par penser que c 'était là mon nom de jeune fille d'où quelques imbroglios sympathiques, dans mon cas.
      Une copine artiste signait tous ses tableaux de son nom de jeune fille, disons Dupont.Lors de nos manifestations, les visiteurs s'adressaient à son mari : Bonjour Monsieur Dupont.Et le pauvre sedécomposait jusqu'au jour où il réagit : Ah, non, Dupont c'est ma femme moi je suis Mr Durand!!!

      Sur la couverture de mes livres , nos deux noms figurent dans le sens Danielle Trempont-Bury.Le nom de mon mari garde donc la préséance.En fait, c'est lors de la disparition de mes parents et surtout depuis le décès de ma mère que j'ai retrouvé l'usage de mon nom de naissance, il le fallait pour tous les documents officiels.Même cas de figure pour mon amie allemande, toujours le nom de son mari .A tel point que lors de nos réservations de voyage, la première fois, je l'avais inscrite sous son nom de femme mariée!

      Petite anecdote, moi de naissance je m'appelle Danielle Bury. Un mien cousin Bury a épousé une Danielle.Nous étions donc deux dans le même pré! Le nom de mon mari a fait la différence dans le milieu culturel.

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    7. En ce qui concerne ma vie professionnelle, j'ai eu deux étapes : d'abord, j'ai gardé mon nom de jeune fille, puis je lui ai ajouté celui de mon mari.
      Et très longtemps, j'ai porté les deux noms.
      Ce n'est que dans ma vie de peintre que j'ai pris le nom de mon mari, cela a correspondu aussi à une période conflictuelle avec mon père ; et certainement au déni de celui-ci de mes activités artistiques.
      Désormais, lorsque je réserve un voyage, ou que je me présente, je le fais systématiquement avec le seul nom de mon mari et j'en suis heureuse.
      Mais cette évolution révèle aussi une histoire familiale douloureuse...
      Je t'embrasse, Danielle.

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    8. est-ce que,donc, en Italie nous utilisons de plus notre nom de jeune fille que vous? de plusieurs de mes collegues dont je ne connais pas le mari je connais seulement le nom de jeume fille et aussi Carla, notre sécretaire, dont je connais aussi le mari , elle n'utilise jamais le nom d'antonio .... moi aussi lorsque je me présente j'utilise Facelle meme si je suis avec Giovanni et il le trouve naturel

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    9. Franchement, Paola, en France, c'est encore très marginal de ne pas prendre le nom de son mari.
      Par exemple, je ne connais le nom de jeune fille d'aucune de mes collègues de travail (le contraire de toi !).
      De plus, il semblerait qu'en cas de divorce, il soit très mal vu que la femme n'ait pas pris le nom de son mari !
      Tu vois, nous sommes vraiment très rétrogrades en ce domaine !
      Et pourtant, le seul nom légal est celui de jeune fille, le nom marital n'étant que tolérance de la loi...

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    10. Perso, j'ai toujours utilisé mon vrai nom, l'autre c'était sur les papiers seulement lol Ou bien j'inscrivais Nathanaëlle C-G Et sur notre boite aux lettres les deux noms et prénoms étaient écrits. C'est assez pénible se penser que le nom dit de "jeune fille" (expression si désuete lol) est comme un nom de "transit", en attendant de s'appeler autrement, les garçons ne changent pas de noms, ils ne peuvent pas comprendre. Cela devrait être au choix, soit on prend le nom de madame, soit on prend le nom de monsieur... bof c'est tout aussi injuste finalement lol

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    11. Et garder les deux noms, celui du père et celui de la mère, pour les enfants, est compliqué aussi pour la génération suivante (cela ferait quatre noms pour l'enfant pour peu que chacun des parents en ait deux...)
      Bisous du lundi, Nath et bonne semaine !

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    12. Compliqué et...ridicule lol On voit des noms à rallonge, j'en connais mais en général les gens évitent, même la Sécu ne met pas tout sur les cartes vitales, cela ne rentre pas dans leur espaces et à fortiori dans les cases ! lol
      Ceci dit, chez nos amis Espagnols cela passe comme ça, mais on s'arrête à la génération présente, ensuite cela change avec le nom des conjoints. On ajoute le nom de la maman après celui du papa, couple marié ou pas.
      Gros bisous Norma, bon weekend !

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    13. Oui, je pensais à l'Espagne, moi aussi !
      Re-bises, Nath !

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  15. Féministe militante, ayant travaillé pendant des années dans une association féminine d'aide aux femmes victimes de violence, cet article et vos commentaires me posent la question de ma propre féminité!
    Je me sens "moi", parfois mâle, parfois femelles, malgré un physique devenu très femme après une enfance et une adolescence très mâles... Pas de poupées, pas de rubans, des salopettes puis des jeans. Les cheveux longs, seul caprice dicté par la mode, coupés court après une prise de conscience de la femme soumise à la chevelure déliée si chère à la culture dominante!
    Puis l'apaisement avec l'âge de cette rage anti-mâle, sans que l'angélisme de la beauté et de la bonté féminines ne l'emporte. Oui, les femmes ont aussi soif de pouvoir, elles savent aussi être violentes, ou vulgaires, ou communes. Elles peuvent nuire de la même manière et être très compétitives et sans scrupules.
    Bref, je me demande vraiment, si nous sommes si différentes des mâles! Sans que cela n'occulte les rôles qui nous ont été imposés, et les souffrances que cela a engendrés pour certaines...
    Bonne journées à toutes!

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    1. Je n'ai jamais été une militante féministe, Gine, mais j'ai rencontré, hélas, bien des femmes battues ou, plus fréquemment, humiliées au quotidien...
      C'est très vrai ce que tu écris : les femmes ont aussi soif de pouvoir, j'en ai des preuves au quotidien, pouvoir déclaré ou pouvoir insidieux, le pire selon moi.
      Les femmes sont venues sur des terrains traditionnellement masculins (politique, postes à responsabilité, etc.), et c'est très bien, heureusement devrais-je dire !
      Mais elles ont pris tous les emblèmes des hommes sur ces terrains de pouvoir, et parfois en les accentuant pour se faire "reconnaître".
      Avaient-elles le choix ?
      Je fréquente au quotidien ce type de femmes et la blogosphère n'en est pas exempte, non plus, mais je ne peux me résoudre à les apprécier, même si je comprends parfaitement que, dans un monde de compétitivité, il faille se saisir parfois des armes masculines...
      Il est d'autres pouvoirs féminins qu'il serait bon d'éclaircir, dans la maison et dans l'éducation des enfants, dans ces domaines qu'on leur a traditionnellement "laissés"...
      Oui, il est des femmes violentes, vulgaires, ce qu'écrivait Renaud, en 1985, sur le rapport des femmes à la conduite automobile a bien changé, insultes et conduite hors norme sont l'apanage de bien d'entre elles, aujourd'hui (en tout cas à Marseille...)
      Alors, où est la prétendue féminité ?
      Belle journée, Gine, bises.

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  16. norma tu m'a fait réflechir en disant "nous devons nous interroger (et avec nos compagnons) sur la manière « discrètement différenciée » dont nous avons élevé nos garçons et/ou nos filles.... donc je me suis interrogé et le résultat donne raison aux mots de mon fils (tout à fait autosuffisante:il dans la maison sait faire chaque chose et aussi laver repasser et appreter ses uniformes) -je suis devenu chef par instinct deconservation - ( je suis une cathastrophe domestique)

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    1. Tu me fais rire, Adrien fait très bien la cuisine, lui aussi, et tu connais mes compétences en la matière...
      Bises, Paola.

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  17. notre discussion m'a donné une idée pour un billet: laquelle est notre idée sur le mariage? (par exeple je ne pensais pas à me marier)

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    1. C'est OK, Paola, je raccrocherai cette idée au thème de la beauté et nous la traiterons prochainement.
      Merci à toi !

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  18. Bonjour Norma. J'arrive bien tard sur ce forum passionnant dont je viens de lire tous les commentaires. J'y ai passé un très long moment et je dois avouer que je n'ai pas vu le temps passer. Du coup le repas n'est pas prêt et je n'ai pas passé un coup de fil que je devais donner ce matin... Oups !
    Je ne parlerai pas de "ma" féminité car tant de choses intéressantes ont été dites que j'ai l'impression de ne rien pouvoir apporter de plus au débat.
    Je vais juste faire un copier/coller d'un petit mot de Nathanaëlle :
    "ce petit plus que l'on dégage plus ou moins, fait une grande différence..."
    Il me semble que ces mots résument parfaitement ce que je pense.
    Bises à vous toutes les filles :-)

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    1. Et Bernard ne pouvait-il pas préparer le repas pendant que tu lisais les commentaires de tes copines quelque peu féministes ? (lol)
      C'est vrai que cette phrase de Nathanaëlle dit bien ce que nous avons toutes du mal à définir, en définitive...
      Je t'embrasse, chère Oxy, amitiés à Bernard...

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    2. Oh, le pauvre.... Il était parti faire les courses pendant que je lisais... :-) Tu vois on partage les tâches à la maison. Je lis, il travaille... ;-)
      Je transmets les amitiés à mon homme courageux. Bisous à vous deux :-)

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    3. Pauvre Bernard, suis-je cruelle envers lui...
      Bisous à tous les deux.

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  19. Bonjour Norma. J'ai trop de difficultés pour installer
    mon commentaire . Désolée. Impossible et depuis
    des mois je rame . Des publicités, des textes de
    toutes sortes m'empêchent de travailler sur mon bllog.
    Je vais donc tout arrêter pendant quelque temps. J'ai
    besoin d'un technicien . A plus tard Norma. Bises.
    ELZA

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    1. On attendra, Elza, que ton ordinateur (ou ta connexion) soit réparé.
      je pense d'ailleurs que cela doit provenir de ta connexion internet, ou alors de ton anti-virus, est-il à jour ?
      En attendant ton retour parmi nous, je t'embrasse bien fort.

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    2. tu dois aller en structuration et cliquer sur bloque popup e cookies

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  20. Bien tard mon commentaire, j'ai lu tous les autres et je n'ai pas grand chose a dire.

    Mon père désirait un fils, grande déception. Quand il était à la maison, il m'élevait comme un garçon, je devais être forte et vaincre toutes mes peurs, les punitions c'était la cave sans soupirail, l'hiver quand il y avait deux mètres de neige dans ma Bosnie, il m'envoyait chez les voisins, j'étais terrorisée de voir arriver un loup ou un ours, l'été je devais affronter l'orage et les éclairs, pas de jouets de fille seulement des jouets de garçon.
    Résultat : je déteste le noir, la neige, l'orage, et je collectionne les poupées :))))
    Pendant ce temps là, ma jeune tante, couturière, jouait avec moi comme avec une poupée, j'avais une quantité invraisemblable de robes, rubans, chaussures, sacs etc..... cela n'a pas changé.

    Je pense être 70/30, je me sens bien en tant que femme mais j'aime aussi mon côté parfois masculin. Il se peut que ce ne soit même pas un côté masculin mais simplement mon côté féminin qui veut faire des choses d'homme comme avoir mon permis camion :))))

    Vous avez parlés du nom, en Serbie la femme perd totalement son nom de jeune fille, de rares fois elle l'ajoute à celui de son mari. Personnellement j'utilise mon nom de famille que je trouve très beau mais on me reproche très souvent de ne pas assez utiliser celui de mon mari.

    Je ne sais pas si je suis une féministe mais au social je me suis battue pour les femmes et même pour les hommes. Comme je le disais hier, à ma nièce : j'ai l'impression que les femmes sont en train de perdre des droits acquis aux prix de grandes luttes et que dans certains domaines rien n'a changé. Voilà un sujet de billet chère Norma :)

    Oui je suis féminine, ça devait être en moi puisque mon père n’est pas arrivé a le détruire.

    Bisous !

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    1. Pas grave si tu nous rejoins plus tard, je te réponds, Nadezda.
      Et c'est important ce que tu écris : "j'ai l'impression que les femmes sont en train de perdre des droits acquis aux prix de grandes luttes et que dans certains domaines rien n'a changé".
      J'ai la même impression que toi, et même je pense que, dans certains domaines, la situation empire...
      Je note soigneusement ta proposition de sujet de discussion et je t'embrasse bien fort.

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