Beauté, santé, bien-être, forme des quinquagénaires et plus... Trop sérieuses s'abstenir !

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Pourquoi un beauty-blog ?

Elles exercent le métier de professeur, psychologue, responsable de projets, elles ont toutes plus de 50 ans, elles s’appellent Danie, Maryse, Anne-Marie et ce sont mes amies de longue date…
Lorsque nous nous rencontrons, survient toujours un moment où nous parlons toilettes, produits de beauté, chaussures, etc., et où nous échangeons nos découvertes les plus récentes en la matière..
Pour elles, et pour toutes celles qui, comme moi, comme nous, s’accordent de temps en temps une parenthèse de futilité dans une vie par ailleurs souvent difficile, j’ai ouvert ce blog-forum, "Entre-filles, le beauty-blog de Norma", un hommage à une certaine légèreté de l'être...

Je serai ravie de vous y retrouver tous les quinze jours…

lundi 24 février 2014

Des amours de chaussures...



... Ou le mythe de Cendrillon ?


Je ne suis pas une "fashion-addict" ; je soigne ma peau au quotidien mais je ne fréquente pas les instituts de beauté ; je m'occupe quasiment seule de mes cheveux ; je m'habille plus par coup de cœur que pour être à la mode ; je n'ai que quelques bijoux que je porte au quotidien et je tiens davantage au contenu de mes sacs qu'à mes sacs eux-mêmes.

Mais, car il y a un "mais" à ces aspects si raisonnables, je collectionne les chaussures.


Depuis mon enfance, je suis attirée par les chaussures.
Est-ce ce souvenir de mon entrée en 6ème qui a conditionné cette quasi-addiction ?

Cette année-là, le jour de la rentrée, j'ai dû remettre des chaussures que j'avais portées l'année précédente alors que mes copines de classe en arboraient, toutes, des neuves.
Loin de moi l'idée de jouer les "cosettes", ma mère avait investi dans d'autres "objets" qu'elle avait sans doute jugés plus utiles pour ce moment emblématique de ma scolarité : un beau cartable, une jupe plissée... mais point de chaussures !

J'ai donc remis des chaussures bien cirées mais sur lesquelles on pouvait voir quelques plis d'usure, espèces de rides que ma mémoire a mémorisées à tout jamais...

Bien plus tard, lorsque j'ai commencé à travailler, ma première acquisition a été : deux paires de chaussures, identiques mais de couleurs différentes !
Et depuis, elles m'attirent toujours autant ; aujourd'hui, j'en possède une centaine de paires, bien entretenues et soigneusement rangées dans un placard à quatre étagères.
Et, comme je n'ai jamais mal aux pieds et que je chausse un petit 36, toutes me conviennent, quasiment sans essayage !





Il m’arrive parfois d’acheter deux, voire trois paires semblables, mais de couleurs différentes, réitérant en cela mon premier achat de ces objets d'amour...
Il ne s'agit pas de chaussures "de marque", heureusement... Je ne suis pas à la recherche du modèle chic "tendance de la saison", ce n'est pas cela.


Je les aime toutes, bottes, baskets, ballerines, escarpins (que je ne mets guère d'ailleurs, sauf avec des jeans), sandales à talons compensés qui me transforment en géante, tongs (les fameux "infraditi" italiens), plates, à talon, en cuir, en tissu, etc.




Baskets de voyage...



Sandales compensées pour l'été



Bottes à talons plats


Bottines rouges que j'adore !


Je connais tous les magasins de chaussures des villes que nous visitons : "Casella", superbe boutique après le Rialto, en se rendant aux Fondamente Nove, à Venise ; "Bagatt" à Bordighera ; "Scarpe & Scarpe" quasiment dans toutes les entrées des grandes villes italiennes

"Scarpe & Scarpe", répétition magique, est un paradis : "plus de 10 000 paires de chaussures", titre sa publicité !
De belles chaussures italiennes, pas chères avec ça, un arrêt obligatoire dans nos voyages...

Car, depuis que je connais les chaussures italiennes, mon addiction s'est ancrée dans ce pays

que nous aimons tant.
J'y ai acheté, en 1997, ma première paire de sandales à talons compensés, qui a rendu l'âme à Venise, l'été 1998, un soir de canicule...



Voici mes préférées de cet hiver : les bottines gris bleu et les noires, plus classiques, "made in Italy" pour les deux paires, pouvant se porter aussi bien avec des pantalons qu'avec des collants ou des leggins.
Une hauteur raisonnable qui me permet d'y être parfaitement à l'aise.








Je me suis, bien sûr, penchée sur les aspects psychologiques de cette passion, à laquelle j'avais dédié un article dans ma chronique "Du côté de la psychologie" du blog "Les peintures de Norma C", article dont je reprends quelques passages ci-dessous.

Les psychologues ont recherché avec obstination le sens caché des chaussures : symbole phallique ou vase sacré ?
Certains disent qu'une femme qui collectionne les chaussures est une voyageuse qui s'ignore ; d'autres parlent d'une quête symbolique de sagesse.
Voilà des interprétations qui me conviennent fort bien...
Une femme qui achète systématiquement toute nouvelle version de son modèle préféré applique l'un des principes du véritable amateur : posséder dans toutes les couleurs la chaussure que l'on aime.
Notons néanmoins que l'on n'achète pas forcément des chaussures pour les porter, mais pour les posséder. On ne porte le plus souvent que quelques paires, toujours les mêmes, ce qui ne nous empêche pas d'en acheter toujours de nouvelles. Et on jette rarement des chaussures que l'on aime, même importables.

Les chaussures sont des reflets de notre histoire, ce sont des albums de souvenirs d'un moment, d'un lieu, d'une émotion, le rappel de l'occasion pour laquelle on les a portées. Elles nous restituent le passé, faisant naître des souvenirs précis comme des photographies.
L'attrait indéfinissable d'une nouvelle chaussure ouvre les portes de notre imagination. C'est au premier regard qu'une chaussure nous séduit par son chic, l'inclinaison de son talon, la sensualité de sa cambrure. tout contribue à l'envoûtement.

Ce n'est pas pour leur confort ou leur caractère pratique que l'on aime les chaussures. Il semblerait que 88% des femmes les achètent trop petites. On attend d'une chaussure qu'elle soit spirituelle ou sublime, mais pas forcément confortable ! Le plus souvent, elles ne nous vont pas "comme un gant" et ne s'adaptent pas parfaitement à notre anatomie.

Une chaussure rationnelle commande le respect, un talon haut appelle l'adoration.

Le pied ou la chaussure féminine sont très souvent choisis comme fétiches. Aussi bien par les hommes (qui aiment les regarder) que par les femmes (qui aiment acheter et même collectionner les souliers de tous genres). Le fétichisme s'enracine à une époque où la séparation d'avec la mère est vue comme la mort elle-même. De même que l'enfant suce son pouce pour se rassurer, le fétichiste s'arme contre sa peur en serrant contre lui l'objet de sa dévotion. Le fait que le pied ou la chaussure féminine sont très souvent choisis comme fétiches appuie cette thèse : au niveau de vision de l'enfant, quand il court se réfugier à quatre pattes auprès de sa mère, c'est d'abord sa chaussure qu'il peut saisir...

Qui plus est, toutes les petites filles croient comme Cendrillon qu'une chaussure peut changer la vie...



Etes-vous, comme moi des "shoes addict" ou des passionnées d'un type bien particulier de chaussures, privilégiez-vous le confort ou souffrez-vous dans des chaussures élégantes, les bichonnez-vous, vous en séparez-vous avec regret ? 


Je ne publierai pas de billet sur ce blog lundi prochain, pour cause de "pause vacances", mais je répondrai aux commentaires que vous laisserez.

Prochaine publication d'"Entre-filles" : lundi 10 mars.




A très bientôt et merci à toutes pour vos contributions si riches et si sincères !

lundi 17 février 2014

Entre-filles...



... Un plus pour notre moral ?




Rencontres de "copinautes"



"La  dernière conférence du cours du soir à Stanford traitait du rapport entre le corps et l’esprit, de la relation du stress et de la maladie. L’orateur (patron du département "Psychiatrie" à Stanford) a, entre autre, affirmé que l’une des meilleures choses que l’homme puisse faire pour sa santé est d’avoir une épouse alors que pour la femme, la meilleure des choses à faire pour être en bonne santé est d’entretenir ses relations avec ses amies.
Tout l’auditoire a éclaté de rire, mais il était sérieux.
Les femmes ont des relations différentes entre elles qui engendrent des systèmes de soutien grâce auxquels elles gèrent les différents stress et les difficultés de la vie.
Du point de vue physique, ces bons moments "entre-filles" nous aident à produire plus de sérotonine – un neurotransmetteur qui aide à combattre la dépression et qui engendre une sensation de bien-être.
Les femmes partagent leurs sentiments alors que les rapports amicaux entre hommes tournent souvent autour de leurs activités.
Il est très rare que ceux-ci passent un bon moment ensemble pour parler de ce qu’ils ressentent ou du déroulement de leur vie personnelle.
Parler du boulot ? Oui. De sport ? Oui. De voitures ? Oui. De pêche, de chasse, de golf ? Oui. Mais de ce qu’ils ressentent ? Rarement.
Les femmes font cela depuis toujours. Nous partageons – du fond de notre âme – avec nos sœurs/mères, et apparemment ceci est bon pour la santé.
L’orateur explique aussi que de passer du temps avec une amie est tout aussi important pour notre état général que de faire du jogging ou de faire de la gym.
Il y a une tendance à penser que lorsque nous faisons de l’exercice nous soignons notre santé, notre corps, alors que lorsque nous passons du temps avec nos amies nous perdons du temps et que nous devrions nous acquitter de choses plus productives – ceci est faux.
Ce professeur affirme que le fait de ne pas créer et maintenir des relations personnelles de qualité est aussi dangereux pour notre santé que de fumer !
Donc, chaque fois que vous passez du temps avec vos amies, pensez que vous faites bien, félicitez-vous de faire quelque chose de positif pour votre santé."



Merci à Patricia, mon amie psychologue, pour m'avoir envoyé ce texte que je m'empresse de relayer ici car je trouve qu'il "nous" correspond bien...

Qu'en pensez-vous ?


Pour toutes celles qui seraient intéressées par la couture : allez faire un tour sur le blog de mon amie Linda "Coudre au jour le jour" (clic)

lundi 10 février 2014

Ces sacs à main qui parlent de nous...



Montre-moi ton sac et je te dirai qui tu es !


Nos sacs à main ont, depuis fort longtemps, intéressé sociologues et psychologues qui voient dans ces objets "un petit monde bien à nous", voire "une prolongation de nous-mêmes"...
Une projection de soi et de son rapport au monde et aux autres, en quelque sorte...

Du sac fourre-tout à la minaudière en passant par le cabas, porté à l'épaule ou tenu à la main, sac à dos,sac dernier cri ou sac-souvenir, saisonnier ou différent chaque jour, immense ou minuscule, notre sac à main varierait en fonction de notre vie mais, aussi, de nos angoisses...
Certaines femmes disent que sans leur sac, elles se sentent nues, d'autres leur vouent un véritable culte, les collectionneuses sacrifient une grande partie de leurs placards à leur rangement (une de mes amies en a 200 !) ; il est vrai que nous jetons rarement un sac, et qu'il va rejoindre les plus anciens sur une étagère ou au fond d'une armoire.

En ce qui me concerne, j'ai toujours opté pour les sacs saisonniers, en cuir l'hiver, plutôt en toile imperméabilisée l'été, à porter de préférence à l'épaule.


Mon sac actuel, un cadeau de Jean, acheté à Rome en octobre dernier :
la grandeur qui me convient, il s’assortit aussi bien aux tenues noires que beiges ou marron,
il se porte à l'épaule ou au bras.


Mes sacs sont plutôt grands mais rangés, car je dois trouver rapidement les objets que je transporte, et en général d'une couleur qui peut s'assortir à tous mes vêtements.

En effet, avec tout ce que contient mon sac à main, il est impensable que je puisse en changer au quotidien...
Car, dans mon sac, il y a :
- un portefeuille avec ma carte d’identité, ma carte de Sécurité Sociale, mon permis de conduire, quelques photos qui me sont chères et mon chéquier ;
- une pochette avec les documents de ma voiture ;
- une pochette-toilette avec un mini kit brosse à dent, un miroir de sac, mon maquillage-retouches (rouge à lèvres, blush et anti-cernes), une miniature de mon parfum et quelques "grigris" ;
- une autre avec quelques remèdes, au cas où... ; pour Jean, pour moi et pour les autres... ;
- dans une poche du sac, toutes mes clefs et divers "bips" ainsi qu'un crayon et un stylo ;
- dans une autre, mon i-phone et une clef USB qui sauvegarde mes documents de travail les plus précieux ;
- dans une autre, mes cartes de crédits et autres cartes de fidélité ;
- en un "vrac rangé", sur les côtés, quelques lingettes lavantes, un paquet de mini-kleenex, une barrette et un chouchou, un porte-monnaie, un paquet de chewing-gums, un paquet de cigarettes (bien que j'en fume une par mois environ...), un mini-agenda personnel et mes indispensables lunettes de soleil ;
- enfin, selon les moments, des gants et mon APN.

Son poids : 2,5 kg...




Mes sacs des années précédentes: la besace "Marlboro Classic" marron et la besace "Sisley" grise,
 bien usés mais toujours présents au fond d'un placard...


Si j'en crois les interprétations socio-psychologiques sur mes choix en matière de sacs à main, je serais... autonome, organisée ; mais anxieuse et ayant besoin d'être rassurée, puisque j’emporte avec moi bien des objets-symboles de ma vie ; et enfin sociable, puisque transportant des objets qui peuvent servir aux autres : kleenex, lingettes, remèdes, chewing-gums, cigarettes, etc.

Pourtant j’abandonne cette caverne d'Ali Baba en voyage mais... tous ces objets se retrouvent, ou presque, dans les poches de ma "Barbour"...


Et vous, quel est votre rapport à votre sac à main ?
Êtes-vous "multi-sacs", avec des changements fréquents, "fourre-tout", avec un contenu en vrac et imprévisible, "sac-cartable" en véritable business-woman, "cabas XXL", avec de la place pour une course de dernière minute, "minaudière" en cas de soirée chic, "sac à dos", ou, comme moi, "sac saisonnier" organisé ?
Privilégiez-vous les "sacs de marque" ou avez-vous des coups de cœur pour des "inconnus pratiques" (ce qui est plutôt mon cas) ?


"Le sac à main est à la femme ce que la coquille est à l’escargot. Il est tout sauf accessoire"…
écrit le sociologue Jean-Paul Kaufmann.

lundi 3 février 2014

Fraîche après une nuit d'insomnie ?



Ces petits gestes qui donnent meilleure mine


Un petit billet plus léger que je dédie aux insomniaques, chroniques ou occasionnelles et, pourquoi pas, à nous toutes, au lendemain d'un soir de fête !


Les insomniaques comme moi sont coutumières de la mine chiffonnée des petits matins et certainement, de ces petites phrases qui, en ce qui me concerne, ont jalonné ma vie depuis mon adolescence :
"Tu as bien mauvaise mine, aujourd'hui !" Qui peut se décliner en :
"Quelle petite mine tu as !" Ou...
"Tu as l'air bien fatiguée !" Faisant parfois place à...
"Tu as les yeux bien cernés ce matin !" Avec, en corollaire, dans mon cas...
"Dis, tu n'as pas encore maigri ?"

Pour éviter ces petites réflexions assassines qui vous plombent une journée dès le matin, voici quelques astuces de "camouflage" de cette mine si sujette à commentaires...

Je ferai ici l'impasse sur les "obligatoires" du petit matin, le (ou les) café(s) et la longue douche, pour m'attarder sur quelques soins et quelques gestes de maquillage qui me semblent efficaces.


D'abord, si vous en avez le temps, faites un shampoing : pour moi, le shampoing ne lave pas seulement les cheveux mais me donne l'impression de nettoyer "l'intérieur de ma tête". Comme je ne fais pas de brushing, c'est faisable quasiment au quotidien. Et on a toujours meilleure mine avec des cheveux propres.


Ensuite, ou plutôt pendant, les soins "bonne mine" ; il sont deux, en ce qui me concerne : le masque et le soin contour des yeux "spécial cernes". Ils ne remplacent pas les soins habituels, ils viennent les compléter, les matins difficiles...
Voici les produits que j'ai en ce moment à la maison, je les utilise en alternance.

Pour les masques qui redonnent un coup de fraîcheur en "repulpant" la peau, mon préféré actuel est  le "Meso-Mask" des laboratoires "Filorga".
J'ai découvert les produits "Filorga" il y a un an environ, dans ma parapharmacie, et je les aime particulièrement. ce sont des produits issus de la médecine esthétique, donc sous contrôle de dermatologues.
Le "Meso-Mask", dit lissant et illuminateur, déplisse bien la peau et enlève quelques signes de fatigue ; je le réserve aux lendemains difficiles...
Son prix se situe aux alentours de 26€.
Il est facile d'emploi, 10 minutes de pause environ, on le retire avec un peu de lotion.


Moins médicaux, mais agréables au quotidien et avec une petite action fraîcheur, les deux suivants :
Le "Masque doré lumière d'exception" de Léa, de la même gamme que l'huile sèche d'Argan que j'ai déjà présentée sur ce blog, qui apporte du confort, voire un petit éclat, pour un prix avoisinant les 20€.


Plus basique mais confortable, le "Masque lissant hydratant" de Nuxe dans sa gamme BIO, qui donne un petit coup d'éclat lors des matins "pas trop fatigués"... C'est le moins cher des trois, il coûte environ 14€.



Venons-en maintenant aux cernes, ces témoins de l'insomnie que ne font que s'accuser, les années aidant.
Des traitements efficaces et à longue durée sont proposés par la médecine esthétique afin de combler les "cernes creux".
Il s'agit d'injections d'acide hyaluronique dont l'effet se prolongerait pendant 18 mois environ.
Je vous avoue que je n'ai pas essayé et ne compte pas le faire dans les mois à venir, j'ai un peu peur des injections, surtout près des yeux.
Mais des plus courageuses que moi pourront peut-être se lancer, auprès d'un bon dermatologue, il s'entend !

Pour les soins réducteurs de cernes beaucoup plus soft, voici mes quatre préférés ; j'ai trouvé les deux premiers sur internet, le premier sur les conseils de ma dermatologue, le second en me documentant sur ce type de produit.
Ce sont deux soins très efficaces mais à ne pas mettre le soir avant de se coucher : ils font gonfler le contour de l’œil pendant la nuit ; remplacer un cerne par une poche, je ne vois pas l'avantage !
En revanche, le matin, ils font de l’effet !

Le "Rénovateur regard" de MédiCeutics diminue ostensiblement "l'effet fatigue" du dessous de l’œil.
MédiCeutics est une gamme également proposée par des dermatologues.
Le prix du "Rénovateur regard" : aux alentours de 38€, il dure facilement 6 mois.


C'est une publicité trouvée sur internet et de nombreux avis positifs qui m'ont fait faire une folie et acheter ce second produit, très cher, aux alentours de 75€ : "Huile de beauté contour des yeux" de "CHO Nature", un concentré d'huiles végétales et d'huiles essentielles.
Il est efficace, c'est sûr, le cerne s'estompe un peu en quelques heures, sa structure huileuse n'est pas des plus agréables à mon goût, son odeur non plus, mais il dure très longtemps, un an au moins car on en met très peu, une goutte sous chaque œil.
Mais ma préférence va nettement à MédiCeutics.


Les deux suivants sont moins efficaces pour moi, mais on peut les mettre le soir car ils ne font pas gonfler les paupières durant la nuit. Et si vous ne "marquez" pas trop sous les yeux, il seront amplement suffisants.
L'"Optim-eyes" de Filorga et le "Contour des yeux prodigieux" de Nuxe, deux produits corrects, pour 26€ environ pour le premier et 18€ le second.




Passons maintenant au "camouflage".
Que vous vous maquilliez ou non, encore deux indispensables :
- L'anti-cernes teinté, qui est un soin complémentaire des précédents et surtout, qui va atténuer le côté mauve-gris des cernes.
- Et le blush rosé ou orangé, qui va donner un peu de couleur à un visage pâle ou grisâtre.

J'ai deux anti-cernes teintés que j'utilise en alternance, également.
Ils sont efficaces tous les deux, le premier, Nars, est plus couvrant donc estompe davantage la couleur du cerne. Il coûte environ 26€. Une structure un peu sèche pour moi.



Le second, "l'anti-cernes hydratant" de Bénéfit, est effectivement plus hydratant et a, me semble-t-il, un effet plus naturel... Aux alentours de 25€.




Pour finir, une touche de couleurs sur des joues un peu pâles...
La "poudre mosaïque soleil" d'Avène permet de nuancer l'effet choisi.
Elle n'est pas desséchante, se travaille facilement au pinceau et surtout, l'effet est très discret. 19€ environ en pharmacie.




Et, en complément ou seul, le "blush Nectar" de Bobby Browm, qui mettra un peu de rose sur le voile de poudre précédent... 26€ environ.
Effet "bonne mine" assuré, et dans la discrétion !



Un conseil, ne forcez pas trop sur le maquillage des yeux les jours de petite mine, il faut avoir un teint impeccable pour supporter un regard charbonneux.
Et préférez une "BB crème", plus légère, à un fond de teint épais, qui risquerait de "cartonner" sur la peau.
Ci-dessous, ma "BB crème" actuelle, fluide, légère, elle unifie bien le teint sans l'épaissir : il s'agit de celle de Nuxe dans sa gamme BIO, 13€ environ.



Quant aux couleurs des vêtements, c'est vrai que certaines donnent plus d'éclat, mais étant une quasi- inconditionnelle du noir, du gris, du beige ou du bleu foncé (avec un peu de blanc l'été...) il vaut mieux que je soigne l'éclat de mon teint plutôt que de compter sur la lumière d'un corsage ou d'un T-shirt...


J'espère vous avoir un peu aidées mais je suis sûre que vous avez toutes des "conseils bonne mine" à nous communiquer (hormis une bonne nuit de sommeil...).


A la semaine prochaine, nous parlerons de nos sacs à main qui, paraît-il, en disent long sur notre personnalité...